©Un portrait géant de Gebran Tuéni sur la façade du Nahar. (Photo al-Markaziya)
Dix-sept ans sont passés depuis que le journaliste et PDG d’An-Nahar, Gebran Tuéni, a été assassiné dans un attentat à la voiture piégée à Mkallès, dans le Metn. C’était le 12 décembre 2005.
En ce lundi 12 décembre, nombreux sont ceux qui ont rendu un vibrant hommage à la mémoire de Gebran Tuéni. «Nous n’oublierons pas», a commenté l’ancien chef du gouvernement, Saad Hariri, sur son compte Twitter, pendant que le chef des Forces libanaises (FL), Samir Geagea, écrivait sur son compte Twitter, dans un jeu de mots: «Parce que chaque Nahar (jour en français) les dérangeait», en allusion au fait que la ligne éditoriale du Nahar importunait les assassins.
Le député Marwan Hamadé a rappelé pour sa part les événements tragiques qui ont abouti à l’assassinat de Gebran Tuéni et rendu hommage, dans un communiqué, à la «longue liste des martyrs du 14 Mars à laquelle s’est ajouté le nom de Gebran». «Celle-ci nous rappelle une période faite de haine et de crimes qui ont ciblé ce groupe de héros devenus martyrs», a-t-il ajouté, estimant que «cette commémoration est un devoir avant d’élire un président de la République en dehors du cercle des assassinats et de ceux qui les couvrent».
Président du Mouvement de l’indépendance et candidat à la présidentielle, le député Michel Moawad a affirmé que «la plaie reste grande ouverte», 17 ans après l’attentat. «Dix-sept plus tard, l’État reste hypothéqué et ses institutions paralysées. Ton discours reste le symbole de l’unité des Libanais et ton stylo, celle d’une expression libre. Nous continuons de militer pour rétablir la souveraineté du pays, limiter à l’État le pouvoir de décision stratégique ainsi que le port d’armes, lutter contre la corruption et réaliser la justice», a-t-il écrit sur Twitter.
Abondant dans le même sens, Ghayath Yazbeck, député FL, a souligné que «l’ombre et les paroles de Gebran Tuéni continuent de secouer les consciences». Il a relevé que «les assassins, toujours présents, sont en train de détruire ce Liban qui te ressemble et qui ressemble aux souverainistes». «Mais ceux qui t’ont tué n’auront pas raison de la lutte de tant de femmes et d’hommes qui œuvrent pour un Liban libre. Nous ne baisserons pas les bras avant d'avoir retrouvé la liberté, l’indépendance et la souveraineté», a-t-il ajouté.
Le député indépendant, Marc Daou, a repris sur son compte Twitter un des slogans tirés du célèbre «serment» scandé par Gebran Tuéni lors de la révolution du 14 Mars 2005: «Pour la défense du Liban glorieux». «Nous ne baisserons pas les bras et nous continuerons de lutter pour la justice et la souveraineté du pays», a-t-il déclaré.
En ce lundi 12 décembre, nombreux sont ceux qui ont rendu un vibrant hommage à la mémoire de Gebran Tuéni. «Nous n’oublierons pas», a commenté l’ancien chef du gouvernement, Saad Hariri, sur son compte Twitter, pendant que le chef des Forces libanaises (FL), Samir Geagea, écrivait sur son compte Twitter, dans un jeu de mots: «Parce que chaque Nahar (jour en français) les dérangeait», en allusion au fait que la ligne éditoriale du Nahar importunait les assassins.
Le député Marwan Hamadé a rappelé pour sa part les événements tragiques qui ont abouti à l’assassinat de Gebran Tuéni et rendu hommage, dans un communiqué, à la «longue liste des martyrs du 14 Mars à laquelle s’est ajouté le nom de Gebran». «Celle-ci nous rappelle une période faite de haine et de crimes qui ont ciblé ce groupe de héros devenus martyrs», a-t-il ajouté, estimant que «cette commémoration est un devoir avant d’élire un président de la République en dehors du cercle des assassinats et de ceux qui les couvrent».
Président du Mouvement de l’indépendance et candidat à la présidentielle, le député Michel Moawad a affirmé que «la plaie reste grande ouverte», 17 ans après l’attentat. «Dix-sept plus tard, l’État reste hypothéqué et ses institutions paralysées. Ton discours reste le symbole de l’unité des Libanais et ton stylo, celle d’une expression libre. Nous continuons de militer pour rétablir la souveraineté du pays, limiter à l’État le pouvoir de décision stratégique ainsi que le port d’armes, lutter contre la corruption et réaliser la justice», a-t-il écrit sur Twitter.
Abondant dans le même sens, Ghayath Yazbeck, député FL, a souligné que «l’ombre et les paroles de Gebran Tuéni continuent de secouer les consciences». Il a relevé que «les assassins, toujours présents, sont en train de détruire ce Liban qui te ressemble et qui ressemble aux souverainistes». «Mais ceux qui t’ont tué n’auront pas raison de la lutte de tant de femmes et d’hommes qui œuvrent pour un Liban libre. Nous ne baisserons pas les bras avant d'avoir retrouvé la liberté, l’indépendance et la souveraineté», a-t-il ajouté.
Le député indépendant, Marc Daou, a repris sur son compte Twitter un des slogans tirés du célèbre «serment» scandé par Gebran Tuéni lors de la révolution du 14 Mars 2005: «Pour la défense du Liban glorieux». «Nous ne baisserons pas les bras et nous continuerons de lutter pour la justice et la souveraineté du pays», a-t-il déclaré.
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