Le ministre sortant de l’Intérieur, Bassam Maoulaoui, a affirmé samedi que les élections municipales auront lieu à la date prévue. «Cent-dix conseils municipaux dans l’ensemble du pays sont dissous, a-t-il expliqué lors d’une interview accordée à Radio Liban libre. Au ministère de l’Intérieur, nous sommes prêts. Les listes électorales seront annoncées au début du mois de février.»
M. Maoulaoui a affirmé qu’en tant que ministre de l’Intérieur, il ne demandera pas le report des élections, d’autant que «cette échéance est nécessaire pour insuffler du nouveau sang dans les conseils municipaux», mais aussi parce qu’elle permettra à «calmer la situation sécuritaire», assurant par ailleurs que celle-ci est «sous contrôle».
Interrogé sur le Conseil des ministres, M. Maoulaoui a affirmé que le gouvernement d’expédition des affaires courantes se réunit pour «traiter les affaires urgentes» afin de «résoudre les problèmes des gens». Il a appelé à garder «ces réunions à l’abri des rivalités communautaires». «Les musulmans ne veulent pas arracher les prérogatives des chrétiens, a-t-il insisté. Les prérogatives du président de la République sont préservées par la Constitution.» Et d’appeler les députés à élire un président de la République dans les plus brefs délais.
M. Maoulaoui a affirmé qu’en tant que ministre de l’Intérieur, il ne demandera pas le report des élections, d’autant que «cette échéance est nécessaire pour insuffler du nouveau sang dans les conseils municipaux», mais aussi parce qu’elle permettra à «calmer la situation sécuritaire», assurant par ailleurs que celle-ci est «sous contrôle».
Interrogé sur le Conseil des ministres, M. Maoulaoui a affirmé que le gouvernement d’expédition des affaires courantes se réunit pour «traiter les affaires urgentes» afin de «résoudre les problèmes des gens». Il a appelé à garder «ces réunions à l’abri des rivalités communautaires». «Les musulmans ne veulent pas arracher les prérogatives des chrétiens, a-t-il insisté. Les prérogatives du président de la République sont préservées par la Constitution.» Et d’appeler les députés à élire un président de la République dans les plus brefs délais.
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