Une délégation conjointe du Rassemblement de Saydet el-Jabal et du Conseil national pour la levée de l’occupation iranienne du Liban a rencontré mardi matin le patriarche maronite Béchara Raï. L’ancien député Farès Souhaid a demandé au chef de l'Église «de porter la cause du Liban dans les cercles de décision arabes et internationaux et d'exiger le soutien des amis du Liban afin de nous aider à mettre en œuvre la Constitution, l'accord de Taëf ainsi que les résolutions arabes et internationales, notamment les résolutions 1559, 1680, 1701 et 2650 du Conseil de sécurité de l'ONU». M. Souhaid a conclu en indiquant que les crises successives que traverse le Liban peuvent se résumer à la seule grande crise que connaît le pays qui est celle de l’occupation iranienne via les armes du Hezbollah.
De son côté, l’ancien député Moustapha Allouche, membre élu du bureau politique du Conseil national pour la levée de l’occupation iranienne du Liban, a réitéré l'appel au respect des résolutions 1559, 1680, 1701 et 2650 et à l’application de la Constitution. Et d'ajouter: «Nous considérons que le Liban est capable de rétablir son rôle historique, sur la base duquel l’Église en 1920 a exigé sa fondation, un pays fondé sur le principe de l’appartenance nationale, et non de l’appartenance religieuse, une patrie de liberté et de justice, non pas une patrie abri des minorités, un Liban-message pour son environnement et le monde, et non pas une force de nuisance pour son environnement et le monde.»
De son côté, l’ancien député Moustapha Allouche, membre élu du bureau politique du Conseil national pour la levée de l’occupation iranienne du Liban, a réitéré l'appel au respect des résolutions 1559, 1680, 1701 et 2650 et à l’application de la Constitution. Et d'ajouter: «Nous considérons que le Liban est capable de rétablir son rôle historique, sur la base duquel l’Église en 1920 a exigé sa fondation, un pays fondé sur le principe de l’appartenance nationale, et non de l’appartenance religieuse, une patrie de liberté et de justice, non pas une patrie abri des minorités, un Liban-message pour son environnement et le monde, et non pas une force de nuisance pour son environnement et le monde.»
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