Le vice-président de la Banque mondiale (BM) pour le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord, Farid Belhaj, a exprimé mercredi son inquiétude au sujet de la situation au Liban et en Tunisie qui sont les deux pays de la région qui préoccupent le plus l’institution.
"Nous avons un certain nombre de facteurs inquiétants dans ces pays", a déclaré Belhaj à l’agence Reuters en marge du Sommet mondial des gouvernements à Dubaï, notamment en ce qui concerne les niveaux d'endettement et la forte inflation.
Il a rappelé que le Liban souffre depuis longtemps d'une dette publique élevée. Toutefois, la question est devenue un "problème majeur", a-t-il souligné "Les citoyens ressentent le fardeau de l'effondrement quasi total du secteur financier", a ajouté M. Belhaj.
Pour le responsable de la BM , “le rôle de l'État dans l'économie au Moyen-Orient et en Afrique du Nord en général est toujours un sujet de préoccupation pour nous”. M. Belhaj a souligné qu'il existe une partie non divulguée de la dette publique, faisant allusion aux dettes des entreprises détenues par l'État.
Il a appelé à la transparence qui est le seul moyen d'entamer les réformes. M.Belhadj a d’ailleurs déploré qu’elles n'atteignent pas l'ampleur souhaitée.
"Nous avons un certain nombre de facteurs inquiétants dans ces pays", a déclaré Belhaj à l’agence Reuters en marge du Sommet mondial des gouvernements à Dubaï, notamment en ce qui concerne les niveaux d'endettement et la forte inflation.
Il a rappelé que le Liban souffre depuis longtemps d'une dette publique élevée. Toutefois, la question est devenue un "problème majeur", a-t-il souligné "Les citoyens ressentent le fardeau de l'effondrement quasi total du secteur financier", a ajouté M. Belhaj.
Pour le responsable de la BM , “le rôle de l'État dans l'économie au Moyen-Orient et en Afrique du Nord en général est toujours un sujet de préoccupation pour nous”. M. Belhaj a souligné qu'il existe une partie non divulguée de la dette publique, faisant allusion aux dettes des entreprises détenues par l'État.
Il a appelé à la transparence qui est le seul moyen d'entamer les réformes. M.Belhadj a d’ailleurs déploré qu’elles n'atteignent pas l'ampleur souhaitée.
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