Les revendications du secteur des transports étaient au cœur de la réunion présidée par le Premier ministre sortant Najib Mikati lundi au Sérail, en présence des ministres sortants des Travaux publics et des Transports Ali Hamiyé, de l'Intérieur Bassam Maoulaoui, des Télécommunications Johnny Corm, de l'Économie et du Commerce Amine Salam, et du Tourisme Walid Nassar, ainsi que les fédérations, syndicats et organismes concernés par ce secteur.
À l'issue de la réunion, le ministre Amine Salam a reconnu que les fédérations et les syndicats avaient un grand nombre de revendications. “La plupart des sujets sont liés aux infractions et à la tarification”, a-t-il affirmé. “Nous avons abordé le sujet des applications qui prennent une part du marché des chauffeurs de taxi-services. Le ministre des Transports a indiqué que certaines ont accepté de transférer leur travail aux voitures publiques”.
“M. Hamiyé a pour sa part assuré être en contact avec le ministère des Télécommunications pour arrêter ces plateformes qui violent la loi ”, a ajouté M. Salam.
Pour sa part, le président des associations et syndicats des transports terrestres Bassam Tleiss a déclaré avoir “présenté les problèmes liés aux nouveaux moyens de transports tels que les motos, les "tuk tuks" ou les applications, qui causent beaucoup de dommages au secteur. Il a été convenu, que le ministre de l'Intérieur donnera ses instructions afin de prendre des mesures restrictives à cet égard”.
Concernant la question des transports extérieurs, M. Tleiss a annoncé qu’une réunion spéciale se tiendra entre le ministre des Travaux publics et des Transports et les syndicats concernés par la question des camions et des transports extérieurs.
Pour ce qui est de la tarification, le syndicaliste a avoué qu’elle demeure un point de blocage qui nécessite une étude plus approfondie. M.Tleiss a toutefois estimé que cette question doit être traitée en tenant compte des conditions des chauffeurs publics et des moyens financiers des citoyens, d'autant que l'État libanais n'est pas en mesure d'exploiter les transports en commun faute de fonds nécessaires.
À l'issue de la réunion, le ministre Amine Salam a reconnu que les fédérations et les syndicats avaient un grand nombre de revendications. “La plupart des sujets sont liés aux infractions et à la tarification”, a-t-il affirmé. “Nous avons abordé le sujet des applications qui prennent une part du marché des chauffeurs de taxi-services. Le ministre des Transports a indiqué que certaines ont accepté de transférer leur travail aux voitures publiques”.
“M. Hamiyé a pour sa part assuré être en contact avec le ministère des Télécommunications pour arrêter ces plateformes qui violent la loi ”, a ajouté M. Salam.
Pour sa part, le président des associations et syndicats des transports terrestres Bassam Tleiss a déclaré avoir “présenté les problèmes liés aux nouveaux moyens de transports tels que les motos, les "tuk tuks" ou les applications, qui causent beaucoup de dommages au secteur. Il a été convenu, que le ministre de l'Intérieur donnera ses instructions afin de prendre des mesures restrictives à cet égard”.
Concernant la question des transports extérieurs, M. Tleiss a annoncé qu’une réunion spéciale se tiendra entre le ministre des Travaux publics et des Transports et les syndicats concernés par la question des camions et des transports extérieurs.
Pour ce qui est de la tarification, le syndicaliste a avoué qu’elle demeure un point de blocage qui nécessite une étude plus approfondie. M.Tleiss a toutefois estimé que cette question doit être traitée en tenant compte des conditions des chauffeurs publics et des moyens financiers des citoyens, d'autant que l'État libanais n'est pas en mesure d'exploiter les transports en commun faute de fonds nécessaires.
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