L'Union des banques arabes (UAB) a inauguré jeudi à Beyrouth, à l'hôtel Phoenicia, le «Forum sur la gestion de la crise bancaire et la viabilité financière».
Étalées sur deux jours, les discussions devront déboucher sur une série de recommandations. Des secrétaires et directeurs généraux d'associations et de syndicats de banques arabes, dont un certain nombre de représentants de banques libanaises et de banques arabes prennent part à cet événement.
Le président du comité exécutif de l'Union des banques arabes et président du conseil d'administration de l'Union internationale des banquiers arabes, Joseph Torbey, a affirmé dans une allocution que la «réunion n'est rien d'autre qu'une confirmation du rôle requis de l'UAB pour développer la coopération entre les institutions bancaires et financières arabes, afin qu’elles travaillent ensemble au développement de la pensée financière et de l'industrie bancaire arabes sur des bases solides et durables, et en harmonie avec les normes et règles bancaires et financières internationales».
Il a souligné que l'UAB, qui célèbre son 50e anniversaire cette année, continue d'œuvrer pour renforcer le secteur bancaire arabe afin d'améliorer ses capacités à tous les niveaux dans le cadre d'une vision élargie.
Pour sa part, le secrétaire général de cet organisme, Wissam Fattouh, a rappelé que ce forum a pour objectif de discuter d'un certain nombre d'axes économiques, financiers et bancaires interdépendants qui tracent la voie socio-économique des pays arabes et présentent les défis en même temps. «Je veux parler des dettes souveraines et des risques d'exposition des banques à ces dernières, la gestion de crise dans les banques et les plans de continuité des activités, la gouvernance économique, qui comprend les politiques macroéconomiques, ainsi que ce qui a trait à l'environnement opérationnel des entreprises et à la viabilité financière et la bonne planification des politiques financières de l'État, notamment en ce qui concerne la dette publique».
Étalées sur deux jours, les discussions devront déboucher sur une série de recommandations. Des secrétaires et directeurs généraux d'associations et de syndicats de banques arabes, dont un certain nombre de représentants de banques libanaises et de banques arabes prennent part à cet événement.
Le président du comité exécutif de l'Union des banques arabes et président du conseil d'administration de l'Union internationale des banquiers arabes, Joseph Torbey, a affirmé dans une allocution que la «réunion n'est rien d'autre qu'une confirmation du rôle requis de l'UAB pour développer la coopération entre les institutions bancaires et financières arabes, afin qu’elles travaillent ensemble au développement de la pensée financière et de l'industrie bancaire arabes sur des bases solides et durables, et en harmonie avec les normes et règles bancaires et financières internationales».
Il a souligné que l'UAB, qui célèbre son 50e anniversaire cette année, continue d'œuvrer pour renforcer le secteur bancaire arabe afin d'améliorer ses capacités à tous les niveaux dans le cadre d'une vision élargie.
Pour sa part, le secrétaire général de cet organisme, Wissam Fattouh, a rappelé que ce forum a pour objectif de discuter d'un certain nombre d'axes économiques, financiers et bancaires interdépendants qui tracent la voie socio-économique des pays arabes et présentent les défis en même temps. «Je veux parler des dettes souveraines et des risques d'exposition des banques à ces dernières, la gestion de crise dans les banques et les plans de continuité des activités, la gouvernance économique, qui comprend les politiques macroéconomiques, ainsi que ce qui a trait à l'environnement opérationnel des entreprises et à la viabilité financière et la bonne planification des politiques financières de l'État, notamment en ce qui concerne la dette publique».
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