Une jeune femme, portée disparue dimanche, après un accident de voiture, est revenue saine et sauve auprès de sa famille.
Les faits: dimanche, aux alentours de midi, une jeune femme, A., a un accident de voiture à Antélias. Un homme s’approche d’elle et lui propose de l’aide. Il suggère de l’emmener à un supposé garage de Ghazir. «Il s’impose toutefois assez brusquement et prend le volant, mais elle a le temps d'appeler sa mère», raconte la cousine de A., Karine Wehbé, à Ici Beyrouth. «Sa mère lui dit de ne pas bouger, le temps de la rejoindre sur les lieux de l’accident, mais lorsqu'elle arrive, ils n’étaient plus là. Le type avait éteint le téléphone de A.», ajoute-t-elle.
Paniquée, la famille lance un appel de détresse sur les réseaux sociaux de plusieurs organisations (961 Lebanon, Live Love Beirut) et auprès de groupes d’avocats. Elle alerte aussi les Forces de sécurité intérieure sur Twitter, mais reste sans nouvelles de la jeune femme. Celle-ci demeure injoignable sur son téléphone.
Dans la nuit, aux alentours de minuit, A. revient auprès de sa famille. A pied. Son kidnappeur «a roulé pendant des heures dans la montagne». «Au final, on ne sait pas trop comment ni pourquoi, il l’a fait descendre du côté de Bourj Hammoud. Il a pris la voiture et s’est enfui», rapporte Karine Wehbé.
Une enquête est menée pour essayer d’identifier et d’arrêter le ravisseur dont le mobile serait lié à la crise économique.
Les faits: dimanche, aux alentours de midi, une jeune femme, A., a un accident de voiture à Antélias. Un homme s’approche d’elle et lui propose de l’aide. Il suggère de l’emmener à un supposé garage de Ghazir. «Il s’impose toutefois assez brusquement et prend le volant, mais elle a le temps d'appeler sa mère», raconte la cousine de A., Karine Wehbé, à Ici Beyrouth. «Sa mère lui dit de ne pas bouger, le temps de la rejoindre sur les lieux de l’accident, mais lorsqu'elle arrive, ils n’étaient plus là. Le type avait éteint le téléphone de A.», ajoute-t-elle.
Paniquée, la famille lance un appel de détresse sur les réseaux sociaux de plusieurs organisations (961 Lebanon, Live Love Beirut) et auprès de groupes d’avocats. Elle alerte aussi les Forces de sécurité intérieure sur Twitter, mais reste sans nouvelles de la jeune femme. Celle-ci demeure injoignable sur son téléphone.
Dans la nuit, aux alentours de minuit, A. revient auprès de sa famille. A pied. Son kidnappeur «a roulé pendant des heures dans la montagne». «Au final, on ne sait pas trop comment ni pourquoi, il l’a fait descendre du côté de Bourj Hammoud. Il a pris la voiture et s’est enfui», rapporte Karine Wehbé.
Une enquête est menée pour essayer d’identifier et d’arrêter le ravisseur dont le mobile serait lié à la crise économique.
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