©De gauche à droite Edouard Beigbeder Jean Gebran et Ralph Tarraf.
L'Office des Eaux de Beyrouth et du Mont-Liban a inauguré, mercredi, en partenariat avec l'Unicef et l'Union européenne, l'une des plus anciennes stations de pompage d'eau de Beyrouth, qui vient d’être réhabilitée.
Il s’agit de la station de Tallet el-Khayat. Le projet a été développé pour assurer l’eau de manière durable à plus d'un demi-million de personnes à Beyrouth grâce à un système reposant sur la gravité et le pompage, précise un communiqué de l’ambassade de l’Union européenne à Beyrouth.
Avec la crise qui continue de peser au Liban, l’accès à l’eau reste l'un des plus grands défis, mettant en danger la santé de millions de personnes, en particulier les enfants, selon le texte.
Après avoir souligné l’importance qu’elle accorde à ce secteur et son partenariat de longue date avec l'Unicef, l'Union européenne a indiqué qu’elle a contribué depuis novembre 2018, à hauteur de 130 millions d'euros, au développement et à la mise en œuvre de projets hydrauliques au Liban. Elle a aussi renforcé, dans le même cadre, la capacité des établissements d'eau à garantir l'accès du public aux ressources hydrauliques, à court et à long terme.
La cérémonie a eu lieu en présence de l’ambassadeur de l’UE, Ralph Tarraf, du représentant de l’Unicef au Liban, Édouard Beigbeder, et du directeur général de l’OEBM.
Dans l’allocution qu’il a prononcée pour l’occasion, M. Tarraf a invité « tous les acteurs concernés à considérer les services publics d'eau et d'assainissement des ressources hydrauliques comme une priorité nationale urgente ». Il a plaidé pour une solution durable qui mettrait fin à la crise du secteur tout en fournissant aux citoyens des services d'eau fiables. Selon lui, il s’agit d’une responsabilité collective, qui devrait être assumée par le gouvernement, les établissements d'eau et les citoyens.
M. Beigbeder a pour sa part rappelé que l'accès à l'eau est un droit fondamental, avant d’indiquer que la priorité de l’Unicef « reste le renforcement de la capacité des Offices des eaux à assurer une distribution équitable et durable de l’eau pour barrer la voie à la propagation de maladies ». Il convient de rappeler dans ce contexte, que l’an dernier, le Liban a fait face à une épidémie de choléra.
Il s’agit de la station de Tallet el-Khayat. Le projet a été développé pour assurer l’eau de manière durable à plus d'un demi-million de personnes à Beyrouth grâce à un système reposant sur la gravité et le pompage, précise un communiqué de l’ambassade de l’Union européenne à Beyrouth.
Avec la crise qui continue de peser au Liban, l’accès à l’eau reste l'un des plus grands défis, mettant en danger la santé de millions de personnes, en particulier les enfants, selon le texte.
Après avoir souligné l’importance qu’elle accorde à ce secteur et son partenariat de longue date avec l'Unicef, l'Union européenne a indiqué qu’elle a contribué depuis novembre 2018, à hauteur de 130 millions d'euros, au développement et à la mise en œuvre de projets hydrauliques au Liban. Elle a aussi renforcé, dans le même cadre, la capacité des établissements d'eau à garantir l'accès du public aux ressources hydrauliques, à court et à long terme.
La cérémonie a eu lieu en présence de l’ambassadeur de l’UE, Ralph Tarraf, du représentant de l’Unicef au Liban, Édouard Beigbeder, et du directeur général de l’OEBM.
Dans l’allocution qu’il a prononcée pour l’occasion, M. Tarraf a invité « tous les acteurs concernés à considérer les services publics d'eau et d'assainissement des ressources hydrauliques comme une priorité nationale urgente ». Il a plaidé pour une solution durable qui mettrait fin à la crise du secteur tout en fournissant aux citoyens des services d'eau fiables. Selon lui, il s’agit d’une responsabilité collective, qui devrait être assumée par le gouvernement, les établissements d'eau et les citoyens.
M. Beigbeder a pour sa part rappelé que l'accès à l'eau est un droit fondamental, avant d’indiquer que la priorité de l’Unicef « reste le renforcement de la capacité des Offices des eaux à assurer une distribution équitable et durable de l’eau pour barrer la voie à la propagation de maladies ». Il convient de rappeler dans ce contexte, que l’an dernier, le Liban a fait face à une épidémie de choléra.
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