Le chef du parti Kataëb, Samy Gemayel, a présenté vendredi une lettre au Premier ministre sortant Najib Mikati, l’appelant à revenir sur sa décision concernant l’ajournement du passage à l’heure d’été (qui ne se fera pas comme cela est habituellement le cas, la nuit du dernier dimanche de mars, mais la nuit du 20 au 21 avril), "à cause des répercussions négatives que cela pourrait avoir sur les sociétés, les particuliers, le trafic aérien et le commerce".
Prévu normalement pour le dernier week-end du mois de mars, le passage à l’heure d’été ce week-end aurait retardé d’une heure le coucher du soleil, et par conséquent, l’heure de rupture du jeûne durant le mois du Ramadan.
"Prendre une décision pareille à la dernière minute, deux jours avant son entrée en vigueur, pose une multitude d’inconvénients pour tous les secteurs, notamment ceux qui traitent avec des compagnies internationales ou qui exercent leurs activités selon des fuseaux horaires spécifiques ou qui utilisent des ordinateurs, des logiciels, des appareils et des serveurs domiciliés à l’étranger, qui passent automatiquement à l’heure d’été. Cette mesure aura des effets non désirables, en empêchant, par exemple, le bon fonctionnement des plateformes administratives et financières ou en provoquant des erreurs de mise à jour, de communication et de partage d’informations", a indiqué le chef de Saïfi. "Sans compter les ajustements que devront effectuer les compagnies pour adapter leurs règlements, leurs opérations, leurs heures de travail, etc. du jour au lendemain, sans avoir été averties. Elles devront aussi pourvoir à des dépenses et gérer des problèmes administratifs injustifiés dans le seul but d’aligner leur travail à l’heure locale au lieu de l’heure adoptée internationalement", a-t-il précisé.
Il convient toutefois de rappeler dans ce contexte que le député Nadim Gemayel avait également soulevé ce point jeudi, date de la publication du communiqué du Premier ministre. Vendredi, le chef du Courant patriotique libre, Gebran Bassil, et le chef des Forces libanaises, Samir Geagea, ont aussi critiqué cette mesure, appelant M. Mikati à revenir sur sa décision.
Prévu normalement pour le dernier week-end du mois de mars, le passage à l’heure d’été ce week-end aurait retardé d’une heure le coucher du soleil, et par conséquent, l’heure de rupture du jeûne durant le mois du Ramadan.
"Prendre une décision pareille à la dernière minute, deux jours avant son entrée en vigueur, pose une multitude d’inconvénients pour tous les secteurs, notamment ceux qui traitent avec des compagnies internationales ou qui exercent leurs activités selon des fuseaux horaires spécifiques ou qui utilisent des ordinateurs, des logiciels, des appareils et des serveurs domiciliés à l’étranger, qui passent automatiquement à l’heure d’été. Cette mesure aura des effets non désirables, en empêchant, par exemple, le bon fonctionnement des plateformes administratives et financières ou en provoquant des erreurs de mise à jour, de communication et de partage d’informations", a indiqué le chef de Saïfi. "Sans compter les ajustements que devront effectuer les compagnies pour adapter leurs règlements, leurs opérations, leurs heures de travail, etc. du jour au lendemain, sans avoir été averties. Elles devront aussi pourvoir à des dépenses et gérer des problèmes administratifs injustifiés dans le seul but d’aligner leur travail à l’heure locale au lieu de l’heure adoptée internationalement", a-t-il précisé.
Il convient toutefois de rappeler dans ce contexte que le député Nadim Gemayel avait également soulevé ce point jeudi, date de la publication du communiqué du Premier ministre. Vendredi, le chef du Courant patriotique libre, Gebran Bassil, et le chef des Forces libanaises, Samir Geagea, ont aussi critiqué cette mesure, appelant M. Mikati à revenir sur sa décision.
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