Plusieurs milliers d'Iraniens se sont réunis à Téhéran pour les funérailles de deux officiers des Gardiens de la Révolution, tués dans un raid israélien mené le 31 mars en Syrie.
Des milliers d'Iraniens ont rendu hommage mardi aux deux officiers des Gardiens de la Révolution tués dans un raid israélien mené le 31 mars en Syrie, où l'Iran soutient le régime de Bachar al-Assad dans la guerre civile déclenchée en 2011.
"À bas Israël!", a scandé mardi la foule rassemblée pour la cérémonie de funérailles sur une place de Téhéran, quatre jours après le bombardement ayant provoqué la mort de Milad Heidari and Meghdad Mahghani, deux membres de l'armée idéologique de la République islamique.
(AFP)
"Nous allons venger le sang des martyrs Heidari et Mahghani", a affirmé le porte-parole des Gardiens, Ramazan Sharif, cité par l'agence de presse Tasnim. "Suivez leur voie", a exhorté la mère de Milad Heidari, l'un des deux officiers morts, en s'adressant à la foule.
Téhéran "se réserve le droit de riposter (...) au moment et à l'endroit appropriés", avait déjà prévenu dimanche le porte-parole de la diplomatie iranienne Nasser Kanani.
(AFP)
Les deux officiers ont été tués à Damas, cible jeudi et vendredi de raids aériens nocturnes imputés par la Syrie à Israël.
Rémi Amalvy, avec AFP
Des milliers d'Iraniens ont rendu hommage mardi aux deux officiers des Gardiens de la Révolution tués dans un raid israélien mené le 31 mars en Syrie, où l'Iran soutient le régime de Bachar al-Assad dans la guerre civile déclenchée en 2011.
"À bas Israël!", a scandé mardi la foule rassemblée pour la cérémonie de funérailles sur une place de Téhéran, quatre jours après le bombardement ayant provoqué la mort de Milad Heidari and Meghdad Mahghani, deux membres de l'armée idéologique de la République islamique.
(AFP)
"Nous allons venger le sang des martyrs Heidari et Mahghani", a affirmé le porte-parole des Gardiens, Ramazan Sharif, cité par l'agence de presse Tasnim. "Suivez leur voie", a exhorté la mère de Milad Heidari, l'un des deux officiers morts, en s'adressant à la foule.
Téhéran "se réserve le droit de riposter (...) au moment et à l'endroit appropriés", avait déjà prévenu dimanche le porte-parole de la diplomatie iranienne Nasser Kanani.
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Les deux officiers ont été tués à Damas, cible jeudi et vendredi de raids aériens nocturnes imputés par la Syrie à Israël.
Rémi Amalvy, avec AFP
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