Les sociétés de transfert de fonds pullulent dans toutes régions du pays. Les tout nouveaux entrants auront du mal à se faire une place au soleil. Le marché est saturé. Remplacent-elles les banques ? C’est un non catégorique.
Les licences d’exploitation octroyées par la Banque du Liban sont littéralement différentes. Représentent-elles un canal pour le blanchiment d’argent ? C’est un non catégorique, aussi. Chaque transaction à OMT est soumise au contrôle de la BDL et du Trésor américain. Malgré la crise au Liban, le transfert de fonds par opération ne dépasse pas 500 $.
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