Les employés du secteur de l'hôtellerie et de la restauration ont soumis aux autorités une feuille de route dont la mise en œuvre contribuera, selon eux, au développement du secteur touristique. Ils appellent notamment au paiement de leurs traitements en dollars et à s’affranchir de la main d’œuvre étrangère.
Dans une lettre ouverte adressée aux autorités concernées publiée mercredi, ils ont réclamé le paiement intégral des salaires des employés du secteur du tourisme en dollars, en relevant que la loi permet aux institutions de facturer et de percevoir le montant des additions en dollars. Une mesure qui se justifie, selon eux, par la nécessité de freiner l’émigration de la main d’œuvre libanaise qualifiée et permettra à ceux qui avaient quitté le pays à cause des conditions difficiles de vie, de rentrer pour y travailler. Ils ont également souligné l’importance des primes, "qui permettraient aux salariés de poursuivre leur travail et de préserver la qualité, tel qu’une assurance hospitalisation au lieu d'une Sécurité sociale qui n’est pas performante".
Ils jugent tout aussi important que les établissements touristiques libanais renoncent à embaucher une main d’œuvre étrangère. "Nous les aidons ainsi directement dans le processus de retour dans leur pays d'origine, et nous ne serons pas de la sorte, la principale raison de leur maintien au Liban", peut-on lire dans le texte.
"Non à la main-d'œuvre étrangère dans le secteur du tourisme où les réfugiés (syriens) occupent 40% des emplois. De plus, 60% d’entre eux travaillent dans les restaurants et les hôtels", insistent-ils.
Dans une lettre ouverte adressée aux autorités concernées publiée mercredi, ils ont réclamé le paiement intégral des salaires des employés du secteur du tourisme en dollars, en relevant que la loi permet aux institutions de facturer et de percevoir le montant des additions en dollars. Une mesure qui se justifie, selon eux, par la nécessité de freiner l’émigration de la main d’œuvre libanaise qualifiée et permettra à ceux qui avaient quitté le pays à cause des conditions difficiles de vie, de rentrer pour y travailler. Ils ont également souligné l’importance des primes, "qui permettraient aux salariés de poursuivre leur travail et de préserver la qualité, tel qu’une assurance hospitalisation au lieu d'une Sécurité sociale qui n’est pas performante".
Ils jugent tout aussi important que les établissements touristiques libanais renoncent à embaucher une main d’œuvre étrangère. "Nous les aidons ainsi directement dans le processus de retour dans leur pays d'origine, et nous ne serons pas de la sorte, la principale raison de leur maintien au Liban", peut-on lire dans le texte.
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