La journée de samedi 6 mai a de nouveau été marquée par des manifestations à travers Israël. Menées contre le projet de réforme judiciaire du gouvernement d'extrême droite de Benjamin Netanyahu, elles démontrent que la mobilisation ne faiblit pas.
Des milliers d'Israéliens se sont à nouveau rassemblés samedi dans différentes villes d'Israël, comme depuis 18 semaines, pour marquer leur opposition au projet de réforme judiciaire du gouvernement de Benjamin Netanyahu, dénonçant en outre l'impact économique du statu quo actuel.
Plusieurs centaines de personnes ont ainsi manifesté à Rehovot, une ville moyenne du centre d'Israël, agitant le drapeau national et bloquant un carrefour de circulation. Mais, comme souvent, c'est à Tel-Aviv, la grande ville côtière, que les opposants ont été les plus nombreux.
Le 27 mars, Benjamin Netanyahu a annoncé une "pause" pour donner une "chance (...) au dialogue", mais la mobilisation ne s'est pas essoufflée jusqu'ici.
Samedi, dans un communiqué, les organisateurs des rassemblements ont à nouveau accusé le Premier ministre de vouloir transformer Israël en "dictature dangereuse et messianique".
Le président de l'Etat d'Israël Isaac Herzog mène des négociations depuis un mois avec des représentants du gouvernement et de l'opposition afin d'arriver à un compromis sur les termes de cette réforme, mais sans annonce d'avancées à ce jour.
Malo Pinatel, avec AFP
Des milliers d'Israéliens se sont à nouveau rassemblés samedi dans différentes villes d'Israël, comme depuis 18 semaines, pour marquer leur opposition au projet de réforme judiciaire du gouvernement de Benjamin Netanyahu, dénonçant en outre l'impact économique du statu quo actuel.
Plusieurs centaines de personnes ont ainsi manifesté à Rehovot, une ville moyenne du centre d'Israël, agitant le drapeau national et bloquant un carrefour de circulation. Mais, comme souvent, c'est à Tel-Aviv, la grande ville côtière, que les opposants ont été les plus nombreux.
Le 27 mars, Benjamin Netanyahu a annoncé une "pause" pour donner une "chance (...) au dialogue", mais la mobilisation ne s'est pas essoufflée jusqu'ici.
Samedi, dans un communiqué, les organisateurs des rassemblements ont à nouveau accusé le Premier ministre de vouloir transformer Israël en "dictature dangereuse et messianique".
Le président de l'Etat d'Israël Isaac Herzog mène des négociations depuis un mois avec des représentants du gouvernement et de l'opposition afin d'arriver à un compromis sur les termes de cette réforme, mais sans annonce d'avancées à ce jour.
Malo Pinatel, avec AFP
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