Le syndicat des employés de téléphonie mobile Alfa et Touch a décidé de repousser l’ultimatum lancé aux directions des deux opérateurs à vendredi midi.
Ce délai devrait permettre aux deux entreprises de préparer les mécanismes exécutifs pour répondre aux revendications des employés, au nombre desquelles notamment le réajustement des salaires, faute de quoi, ils entameront une grève ouverte.
Cette décision intervient à la suite de consultations que le syndicat a menées avec le ministre sortant des Télécommunications, Johnny Corm, et les directions des deux opérateurs Alfa et Touch, qui se sont poursuivies jusqu’à très tard dans la nuit de mardi à mercredi.
Dans un communiqué publié au petit matin, le syndicat a rappelé qu’il «favorise une communication permanente et un dialogue constructif entre les salariés et les directions des deux entreprises afin de trouver un terrain d’entente».
Rappelons dans ce cadre que lundi soir, le syndicat avait lancé un ultimatum aux directions d’Alfa et de Touch, leur accordant un délai de 24 heures pour accepter un réajustement de la valeur réelle de leurs salaires, faute de quoi ils observeront un arrêt de travail.
Le président du syndicat, Nabil Youssef, avait indiqué à Ici Beyrouth qu'à la suite d'une série de réunions et de consultations menées la semaine dernière avec les deux directions des deux sociétés, «une réunion décisive devait se tenir au début de cette semaine». Or, celle-ci a été reportée. Le syndicat a alors demandé aux administrations d’Alfa et de Touch de répondre à leurs revendications avant la rencontre prévue le 24 mai avec Johnny Corm.
Selon une source proche des employés d’Alfa et de Touch, le dilemme porte sur la majoration de 5% de la part qu’ils touchent en dollars frais. Ils réclament qu’elle passe de 35 à 40% du salaire total. Ils estiment qu’au regard des bénéfices générés par les deux opérateurs, cette augmentation est tout à fait possible.
Il convient de rappeler que le syndicat avait déjà brandi la menace de la grève le 27 avril dernier.
Ce délai devrait permettre aux deux entreprises de préparer les mécanismes exécutifs pour répondre aux revendications des employés, au nombre desquelles notamment le réajustement des salaires, faute de quoi, ils entameront une grève ouverte.
Cette décision intervient à la suite de consultations que le syndicat a menées avec le ministre sortant des Télécommunications, Johnny Corm, et les directions des deux opérateurs Alfa et Touch, qui se sont poursuivies jusqu’à très tard dans la nuit de mardi à mercredi.
Dans un communiqué publié au petit matin, le syndicat a rappelé qu’il «favorise une communication permanente et un dialogue constructif entre les salariés et les directions des deux entreprises afin de trouver un terrain d’entente».
Rappelons dans ce cadre que lundi soir, le syndicat avait lancé un ultimatum aux directions d’Alfa et de Touch, leur accordant un délai de 24 heures pour accepter un réajustement de la valeur réelle de leurs salaires, faute de quoi ils observeront un arrêt de travail.
Le président du syndicat, Nabil Youssef, avait indiqué à Ici Beyrouth qu'à la suite d'une série de réunions et de consultations menées la semaine dernière avec les deux directions des deux sociétés, «une réunion décisive devait se tenir au début de cette semaine». Or, celle-ci a été reportée. Le syndicat a alors demandé aux administrations d’Alfa et de Touch de répondre à leurs revendications avant la rencontre prévue le 24 mai avec Johnny Corm.
Selon une source proche des employés d’Alfa et de Touch, le dilemme porte sur la majoration de 5% de la part qu’ils touchent en dollars frais. Ils réclament qu’elle passe de 35 à 40% du salaire total. Ils estiment qu’au regard des bénéfices générés par les deux opérateurs, cette augmentation est tout à fait possible.
Il convient de rappeler que le syndicat avait déjà brandi la menace de la grève le 27 avril dernier.
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