La commission des finances et du budget a entamé lundi l’étude de la loi relative à la production d'énergies renouvelables. Elle a tenu à cet effet une réunion sous la présidence du député Ibrahim Kanaan, en présence de responsables de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) et de la Société financière internationale (IFC).
M. Kanaan a affirmé qu’il s’agit d’une réforme nécessaire, réclamée par la communauté internationale, qui permettra de couvrir 30 % des besoins du Liban en énergie à un moindre coût. La capacité de production sera supérieure à celle en place, mais son volume dépendra de l'implication du secteur privé dans ce projet, celui-ci reposant essentiellement sur un partenariat avec le secteur privé (PPP).
Le projet est dédié aux initiatives individuelles de 10 mégawatts ou moins. Il fournira de l'énergie au producteur local du village ou de la ville, jusqu'au consommateur. L'État percevra seulement une redevance de transit pour l'utilisation de ses réseaux.
M. Kanaan a confirmé l’engagement des institutions financières internationales représentées à la séance en faveur de ce projet. Il a souligné leur volonté de financer, à hauteur de 100 à 200 millions de dollars, des projets de production d'énergie renouvelable au Liban, à des conditions favorables au consommateur et au producteur libanais, et ce, dans le respect de l'environnement.
Il a noté que la capacité de l'État libanais à développer la production de courant jusqu'à atteindre les 1.200 mégawatts a été soulevée durant la réunion. «Cependant, pour en arriver là, il sera nécessaire d'assurer un entretien des centrales», a-t-il ajouté, en citant le ministère de l'Énergie et Électricité du Liban (EDL).
Le député a aussi indiqué que le texte sous examen complète la loi 462, «ce qui signifie que la formation de l'autorité de régulation reste l'un des éléments de base pour réglementer la relation avec l'État et la distribution de l'énergie».
La commission tiendra une seconde réunion la semaine prochaine pour poursuivre l'examen du texte en vue de son approbation.
M. Kanaan a affirmé qu’il s’agit d’une réforme nécessaire, réclamée par la communauté internationale, qui permettra de couvrir 30 % des besoins du Liban en énergie à un moindre coût. La capacité de production sera supérieure à celle en place, mais son volume dépendra de l'implication du secteur privé dans ce projet, celui-ci reposant essentiellement sur un partenariat avec le secteur privé (PPP).
Le projet est dédié aux initiatives individuelles de 10 mégawatts ou moins. Il fournira de l'énergie au producteur local du village ou de la ville, jusqu'au consommateur. L'État percevra seulement une redevance de transit pour l'utilisation de ses réseaux.
M. Kanaan a confirmé l’engagement des institutions financières internationales représentées à la séance en faveur de ce projet. Il a souligné leur volonté de financer, à hauteur de 100 à 200 millions de dollars, des projets de production d'énergie renouvelable au Liban, à des conditions favorables au consommateur et au producteur libanais, et ce, dans le respect de l'environnement.
Il a noté que la capacité de l'État libanais à développer la production de courant jusqu'à atteindre les 1.200 mégawatts a été soulevée durant la réunion. «Cependant, pour en arriver là, il sera nécessaire d'assurer un entretien des centrales», a-t-il ajouté, en citant le ministère de l'Énergie et Électricité du Liban (EDL).
Le député a aussi indiqué que le texte sous examen complète la loi 462, «ce qui signifie que la formation de l'autorité de régulation reste l'un des éléments de base pour réglementer la relation avec l'État et la distribution de l'énergie».
La commission tiendra une seconde réunion la semaine prochaine pour poursuivre l'examen du texte en vue de son approbation.
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