Marc Daou, député du changement, a vivement reproché au président du Parlement, Nabih Berry, « d’entraver délibérément l’élection du président de la République en ne convoquant pas de session parlementaire électorale ».
Sur son compte Twitter, jeudi, M. Daou a fustigé « les avis consultatifs » du président de la Chambre, « qui n’ont aucune base constitutionnelle ».
Il a ajouté que M Berry « se doit de convoquer une réunion pour l’élection d’un président, conformément aux dispositions constitutionnelles tandis que la responsabilité incombe aux députés de décider du sérieux des candidats ».
M. Daou a conclu : « les avis consultatifs du président du Parlement représentent une atteinte au Parlement et à la Constitution et servent ses intérêts pour imposer le candidat du duo » Amal-Hezbollah.
La remarque acerbe du député Daou vient en réponse à un communiqué de presse du bureau du président de la Chambre paru jeudi dans laquelle ce dernier explique que « les portes du Parlement ne sont pas fermées à une session électorale tant qu’au moins deux candidatures sérieuses sont annoncées pour la présidence ». « Toute autre affirmation relève de la perturbation et des menace futiles qui n’affectent pas le président de la Chambre » avait déclaré M. Berry.
Sur son compte Twitter, jeudi, M. Daou a fustigé « les avis consultatifs » du président de la Chambre, « qui n’ont aucune base constitutionnelle ».
Il a ajouté que M Berry « se doit de convoquer une réunion pour l’élection d’un président, conformément aux dispositions constitutionnelles tandis que la responsabilité incombe aux députés de décider du sérieux des candidats ».
M. Daou a conclu : « les avis consultatifs du président du Parlement représentent une atteinte au Parlement et à la Constitution et servent ses intérêts pour imposer le candidat du duo » Amal-Hezbollah.
La remarque acerbe du député Daou vient en réponse à un communiqué de presse du bureau du président de la Chambre paru jeudi dans laquelle ce dernier explique que « les portes du Parlement ne sont pas fermées à une session électorale tant qu’au moins deux candidatures sérieuses sont annoncées pour la présidence ». « Toute autre affirmation relève de la perturbation et des menace futiles qui n’affectent pas le président de la Chambre » avait déclaré M. Berry.
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