Le chef des Kataëb, Samy Gemayel, également député du Metn, a mis en garde ses collègues qui n’ont pas l’intention de voter pour aucun des deux candidats en lice dans la course à la présidentielle, les anciens ministres, Jihad Azour et Sleiman Frangié, contre les conséquences de leur absence de choix.
Dans un communiqué adressé aux députés « hésitants », M. Gemayel a énuméré les principales étapes que le pays a connues depuis le départ des troupes syriennes du Liban, en 2005, et qui ont à chaque fois consacré la mainmise de l’axe pro-iranien sur le pouvoir au Liban. « Depuis 2005, nous sommes passés par tous genres de persécutions et de tragédies. Leur objectif (l’axe pro-iranien) a toujours été de contrôler par la paralysie, la menace et l’intimidation, le pouvoir de décision au Liban », a-t-il accusé.
M. Gemayel a cité en vrac la vague d’assassinats politiques et l’invasion de Beyrouth par le Hezbollah, le 7 mai 2008, qui avait débouché sur l’accord de Doha, lequel avait à son tour « consacré des mécanismes anticonstitutionnels et constitué la première étape d’un processus qui s’est poursuivi avec le blocage de la nomination de Premiers ministres, de gouvernements et de présidents ».
« Aujourd’hui, nous nous apprêtons à aborder la troisième étape qui pourrait leur permettre d’imposer une mainmise et une tutelle totales sur le Liban. S’ils réussissent, les années prochaines verront la poursuite du changement de l’identité libanaise, fondée sur la liberté, la démocratie et le pluralisme », a averti M. Gemayel.
S’adressant à ses collègues, parmi les députés récalcitrants, il a insisté sur le fait que « leur choix, demain (mercredi) déterminera le cours de cette prochaine étape ». « Nous refusons le langage des armes et de la violence face aux leurs. Nous avons aujourd’hui une chance pour redresser cette courbe ascendante sur laquelle glisse le Liban et rétablir, pacifiquement et démocratiquement, l’équilibre dans le pays », a-t-il imploré.
Dans un communiqué adressé aux députés « hésitants », M. Gemayel a énuméré les principales étapes que le pays a connues depuis le départ des troupes syriennes du Liban, en 2005, et qui ont à chaque fois consacré la mainmise de l’axe pro-iranien sur le pouvoir au Liban. « Depuis 2005, nous sommes passés par tous genres de persécutions et de tragédies. Leur objectif (l’axe pro-iranien) a toujours été de contrôler par la paralysie, la menace et l’intimidation, le pouvoir de décision au Liban », a-t-il accusé.
M. Gemayel a cité en vrac la vague d’assassinats politiques et l’invasion de Beyrouth par le Hezbollah, le 7 mai 2008, qui avait débouché sur l’accord de Doha, lequel avait à son tour « consacré des mécanismes anticonstitutionnels et constitué la première étape d’un processus qui s’est poursuivi avec le blocage de la nomination de Premiers ministres, de gouvernements et de présidents ».
« Aujourd’hui, nous nous apprêtons à aborder la troisième étape qui pourrait leur permettre d’imposer une mainmise et une tutelle totales sur le Liban. S’ils réussissent, les années prochaines verront la poursuite du changement de l’identité libanaise, fondée sur la liberté, la démocratie et le pluralisme », a averti M. Gemayel.
S’adressant à ses collègues, parmi les députés récalcitrants, il a insisté sur le fait que « leur choix, demain (mercredi) déterminera le cours de cette prochaine étape ». « Nous refusons le langage des armes et de la violence face aux leurs. Nous avons aujourd’hui une chance pour redresser cette courbe ascendante sur laquelle glisse le Liban et rétablir, pacifiquement et démocratiquement, l’équilibre dans le pays », a-t-il imploré.
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