Offrons-nous des perspectives sans qu’elles ne soient illusoires, suscitons de l’espoir, traçons une voie pour continuer à vivre et reconstruire, jetons les bases d’un projet pour un lendemain distinct de cette réalité, façonnée par un régime qui nous a tout pris, qui a détruit tout ce que nous avions édifié, qui a volé tout ce que nous possédions, sans vergogne, sans même sourciller. C’est à croire que le Créateur les a faits en marbre, le cœur noirci par la malice satanique, corrompus jusqu’à la moelle, dotés d’une cupidité et d’une voracité sans limites. Cessons de nous armer de patience, car il n’y a aucun espoir de les voir repus et rassasiés, ou habités du moindre soupçon d’humilité ou de honte.
Désespérons de les voir se fatiguer de nous faire souffrir et de nous torturer, ou de se contenter de cette dose d’humiliation et d’injures qu’ils ont placardées sur le haut de nos fronts, nous mortifiant, et défigurant nos visages, nous poussant à nous soumettre à l'amertume de la mendicité. Comptons sur nous-mêmes et la sueur de notre front pour paver la voie à une autre patrie, que nous édifierons en lieu et place de la nôtre, hypothéquée, saccagée.
Nul besoin des échanges stériles
Faisons la sourde oreille à leurs inepties et leurs rhétoriques, raillons leurs polémiques honteuses et leurs passes d’armes au sujet de leurs scandales de corruption. Exposons haut et fort l’arrogant monsieur sanctionné par les Américains sur fond d’accusations de corruption et d’enrichissement illicite, et qui a bénéficié, selon un verdict sans appel du quatrième pouvoir, d’un népotisme délictueux, pour dire à Gebran Bassil que nous n’avons pas besoin de lui pour prendre conscience et découvrir les pratiques de Nabih Berry au sein du Parlement. Nous n’avons pas oublié comment ce dernier a bloqué cette institution sans justification, légiféré sans aucun droit, décrété ce qui est interdit, et interdit ce qui est permis, au gré des vents et de ses envies, et comment les administrations et propriétés de l’État ont été transformées en planques pour copains et larbins.
De même, nous nous passons du monsieur poursuivi en justice en vertu d’un mandat d’arrêt judiciaire, Ali Hassan Khalil, pour nous rappeler les mérites du général Michel Aoun, décrire son appétence obsessionnelle pour le pouvoir, ses tractations avec un extérieur régional et un intérieur milicien, depuis qu’il était officier à Saïda, à la veille du début de la funeste guerre civile, en passant par le siège de Tal el-Zaatar, ainsi que son rictus à l’armée israélienne au musée en 1982, ses vaines guerres de libération et d’élimination, de même que son déplacement aux États-Unis en soutien à la résolution 1559, jusqu’à sa volatilité et versatilité entre les deux frères ennemis baathistes, Saddam Hussein et Assad père et fils, et sa pratique des pires formes de discrimination sectaire et raciale, à travers chaque décret qu’il a signé ou s’est abstenu de signer…
Nul besoin de nous rappeler qui a transformé le ministère de l’Énergie en caverne d’Ali baba, dilapidé l’argent et causé des pertes se chiffrant à cent milliards de dollars, gaspillés dans l’achat de fuel, de gasoil et de carburants, dans les marchés des navires et des barrages restés à sec, et dans les compagnies de gestion de l’eau potable et du traitement des eaux usées. Inutile non plus de nous expliquer comment le secteur des télécommunications est passé d’un secteur générant deux milliards de dollars américains par an, à un secteur déficitaire incapable de couvrir ses frais de fonctionnement, après être devenu un repère des apparatchiks oisifs du système et de leurs acolytes.
Aucun espoir non plus de voir un système judiciaire malmené par toutes les parties de l’establishment, réagir pour sanctionner, rendre justice et récupérer les deniers de l’État, au moment où ces pôles s’échangent en public invectives et accusations au sujet de ce vaste hold-up. Ce pouvoir judiciaire a perdu sa crédibilité le jour où il a accepté de se retrouver partagé entre les ambitions des seigneurs de l’establishment, qui s’y répartissent les nominations et les centres vitaux en y confiant à leurs disciples le pouvoir décisionnel.
Aucun besoin de Nasrallah et ses crimes
Nul besoin de voir le “soldat du waliy el-faqih” faire ses sorties pour nous transformer en ennemis de notre entourage et nous entraîner dans des conflits qui ne nous concernent pas, insultant les amis et amoureux de notre pays, se pavanant en arborant sa capacité de cracher dans la soupe et porter préjudice à chaque Libanais qui cherche sa croûte ailleurs. Nul besoin de le voir semer dans chaque pays frère ou ami un crime ou une violation: artisan de l’épuration ethnique et de l’humiliation de la "faim ou la soumission" à Madaya, sans oublier tous les autres crimes de guerre caractérisés en Syrie ; fer de lance de la discorde entre sunnites et chiites en Irak ; maître de l’escalade de la guerre au Yémen jusqu’à prendre pour cible des villes d’Arabie saoudite et les installations pétrolières du Royaume, en passant par le trafic de drogue, d’explosifs et le blanchiment d’argent au Koweït, aux Émirats arabes unis et dans d’autres pays européens et à travers le monde… sans compter le partage avec l’Iran et ses sbires en Irak d’un butin de 800 milliards de dollars américains, le plus gros butin de l’histoire moderne…
Hassan Nasrallah ne se lasse pas de nous transformer de manière méthodique et répétée en peuple devant lequel toutes les portes se ferment et les perspectives se bouchent. Un peuple sans ami, ni frère, ni soutien dans ses épreuves.
Sa faillite intellectuelle et médiatique s’est révélée lors de ses dernières apparitions lorsqu’il a prétendu que les Libanais se trouvant dans les pays du Golfe sont des otages détenus par ces pays, qui les agitent comme menace contre le Liban, leur patrie !
Le seul moyen que Nasrallah a trouvé pour évacuer sa colère face à son échec avec les Houthis dans la bataille de Marib, et aux développements militaires qui ont coûté la vie à l’ambassadeur des gardiens de la révolution au Yémen, et à d’autres dirigeants houthis, est d’accuser les opposants de l’Iran dans les pays du Golfe de "preneurs d’otages". Il s’agit du comportement d’un criminel qui fait porter le chapeau de ses méfaits à ses adversaires !
Nasrallah a nié une évidence qui s’offre au monde, sans hésiter, ni prendre en considération la réalité et la vérité, à savoir que le Liban, peuple et État, est un pays otage du Hezbollah et de ses alliés, une "monnaie d’échange pour l’Iran", qui l’a transformé en un pays miné par la pauvreté, la faim, la misère, et le dénuement, dans l’attente de conclure un accord avec l’Occident.
Ceux que Nasrallah a appelé "les otages du Golfe" sont en réalité des Libanais qui vivent dans la prospérité, et ont la chance de produire et de travailler. Ils bénéficient du bien-être d’avoir de l’électricité, de l’eau, des transports, des services de soins et de santé, des loisirs dans des clubs et des centres de villégiature, de voyager et de faire du tourisme, et subviennent, de surcroît, aux besoins du peuple libanais sur ses terres…
La déclaration pathétique de Nasrallah, dans son absurdité, son mépris total pour ses auditeurs, et son esquive de la vérité s’est transformée en blague sarcastique relayée sur les réseaux sociaux dans un tweet disant : "Pauvre tante Mahassen, tous ses enfants sont des otages. Elle en a deux en Arabie saoudite qui lui transfèrent 600 dollars par mois, un otage au Koweït qui travaille dans le pétrole, et sa fille Outour qui a épousé son cousin et se retrouve otage à Dubai" # Sajed.
Cette dérision qu’on retrouve sur bien des lèvres, met en exergue l’échec du Hezbollah à gérer le Liban et à tromper la prise de conscience des Libanais. Cet échec ne se manifeste pas dans l’incapacité du parti à gérer les parties prenantes de cet establishment corrompu, qu’il a terrorisées et qui lui courbent l’échine, mais plutôt dans son échec croissant, devenu catastrophique et destructeur, dans la gestion des différends entre ses partisans, et dans la rationalisation des désirs contradictoires de sa clique pour le pouvoir, l’argent et l’influence.
À chaque fois que les Libanais voient poindre à l’horizon l’espoir de voir les efforts des pays amis réussir à améliorer, quoique de manière relative, les relations du Liban avec les pays arabes, l’Arabie saoudite, le Koweït et les Émirats arabes unis, un responsable du Hezbollah au Liban s’évertue à jeter de l’huile sur feu, et à attiser la colère, comme s’il était chargé par ses commanditaires de nous garder en otages réduits au silence et en marchandise prête à être troquée l’heure venue au plus offrant…
Pour l'action et l'unité
Nous sommes las de cet échange pataud entre vous, et de grâce, que les médias et les réseaux sociaux s’abstiennent de diffuser ces diatribes mutuelles, ne serait-ce que par pitié pour notre intelligence, nos oreilles et nos aptitudes culturelles et intellectuelles…
Nul espoir de poursuivre sans renverser votre autorité et défaire votre système. Il en va de l’avenir de nos générations qui sera décidé par un peuple libre et uni et non par vos partis.
Nul espoir non plus:
- sans trouver une alternative politique en mesure de faire bouger le système et de le faire tomber,
- sans réformer le pouvoir judiciaire et en faire une autorité indépendante,
- sans traduire cette caste criminelle, corrompue et subordonnée à l’étranger, devant la justice pour répondre de ses actes et recouvrer l’argent public et celui des déposants, et sans les jeter derrière les barreaux de la honte et du repentir.
Il est impératif de renverser le système - et le moyen pour ce faire est de créer une alternative politique capable, nationale, transcendant les appartenances communautaires, régionales et générationnelles, moderne, démocratique et visionnaire.
Alors, allons de ce pas unir, mobiliser et inclure les forces individuelles et collectives dans la lutte pour le changement.
Désespérons de les voir se fatiguer de nous faire souffrir et de nous torturer, ou de se contenter de cette dose d’humiliation et d’injures qu’ils ont placardées sur le haut de nos fronts, nous mortifiant, et défigurant nos visages, nous poussant à nous soumettre à l'amertume de la mendicité. Comptons sur nous-mêmes et la sueur de notre front pour paver la voie à une autre patrie, que nous édifierons en lieu et place de la nôtre, hypothéquée, saccagée.
Nul besoin des échanges stériles
Faisons la sourde oreille à leurs inepties et leurs rhétoriques, raillons leurs polémiques honteuses et leurs passes d’armes au sujet de leurs scandales de corruption. Exposons haut et fort l’arrogant monsieur sanctionné par les Américains sur fond d’accusations de corruption et d’enrichissement illicite, et qui a bénéficié, selon un verdict sans appel du quatrième pouvoir, d’un népotisme délictueux, pour dire à Gebran Bassil que nous n’avons pas besoin de lui pour prendre conscience et découvrir les pratiques de Nabih Berry au sein du Parlement. Nous n’avons pas oublié comment ce dernier a bloqué cette institution sans justification, légiféré sans aucun droit, décrété ce qui est interdit, et interdit ce qui est permis, au gré des vents et de ses envies, et comment les administrations et propriétés de l’État ont été transformées en planques pour copains et larbins.
De même, nous nous passons du monsieur poursuivi en justice en vertu d’un mandat d’arrêt judiciaire, Ali Hassan Khalil, pour nous rappeler les mérites du général Michel Aoun, décrire son appétence obsessionnelle pour le pouvoir, ses tractations avec un extérieur régional et un intérieur milicien, depuis qu’il était officier à Saïda, à la veille du début de la funeste guerre civile, en passant par le siège de Tal el-Zaatar, ainsi que son rictus à l’armée israélienne au musée en 1982, ses vaines guerres de libération et d’élimination, de même que son déplacement aux États-Unis en soutien à la résolution 1559, jusqu’à sa volatilité et versatilité entre les deux frères ennemis baathistes, Saddam Hussein et Assad père et fils, et sa pratique des pires formes de discrimination sectaire et raciale, à travers chaque décret qu’il a signé ou s’est abstenu de signer…
Nul besoin de nous rappeler qui a transformé le ministère de l’Énergie en caverne d’Ali baba, dilapidé l’argent et causé des pertes se chiffrant à cent milliards de dollars, gaspillés dans l’achat de fuel, de gasoil et de carburants, dans les marchés des navires et des barrages restés à sec, et dans les compagnies de gestion de l’eau potable et du traitement des eaux usées. Inutile non plus de nous expliquer comment le secteur des télécommunications est passé d’un secteur générant deux milliards de dollars américains par an, à un secteur déficitaire incapable de couvrir ses frais de fonctionnement, après être devenu un repère des apparatchiks oisifs du système et de leurs acolytes.
Aucun espoir non plus de voir un système judiciaire malmené par toutes les parties de l’establishment, réagir pour sanctionner, rendre justice et récupérer les deniers de l’État, au moment où ces pôles s’échangent en public invectives et accusations au sujet de ce vaste hold-up. Ce pouvoir judiciaire a perdu sa crédibilité le jour où il a accepté de se retrouver partagé entre les ambitions des seigneurs de l’establishment, qui s’y répartissent les nominations et les centres vitaux en y confiant à leurs disciples le pouvoir décisionnel.
Aucun besoin de Nasrallah et ses crimes
Nul besoin de voir le “soldat du waliy el-faqih” faire ses sorties pour nous transformer en ennemis de notre entourage et nous entraîner dans des conflits qui ne nous concernent pas, insultant les amis et amoureux de notre pays, se pavanant en arborant sa capacité de cracher dans la soupe et porter préjudice à chaque Libanais qui cherche sa croûte ailleurs. Nul besoin de le voir semer dans chaque pays frère ou ami un crime ou une violation: artisan de l’épuration ethnique et de l’humiliation de la "faim ou la soumission" à Madaya, sans oublier tous les autres crimes de guerre caractérisés en Syrie ; fer de lance de la discorde entre sunnites et chiites en Irak ; maître de l’escalade de la guerre au Yémen jusqu’à prendre pour cible des villes d’Arabie saoudite et les installations pétrolières du Royaume, en passant par le trafic de drogue, d’explosifs et le blanchiment d’argent au Koweït, aux Émirats arabes unis et dans d’autres pays européens et à travers le monde… sans compter le partage avec l’Iran et ses sbires en Irak d’un butin de 800 milliards de dollars américains, le plus gros butin de l’histoire moderne…
Hassan Nasrallah ne se lasse pas de nous transformer de manière méthodique et répétée en peuple devant lequel toutes les portes se ferment et les perspectives se bouchent. Un peuple sans ami, ni frère, ni soutien dans ses épreuves.
Sa faillite intellectuelle et médiatique s’est révélée lors de ses dernières apparitions lorsqu’il a prétendu que les Libanais se trouvant dans les pays du Golfe sont des otages détenus par ces pays, qui les agitent comme menace contre le Liban, leur patrie !
Le seul moyen que Nasrallah a trouvé pour évacuer sa colère face à son échec avec les Houthis dans la bataille de Marib, et aux développements militaires qui ont coûté la vie à l’ambassadeur des gardiens de la révolution au Yémen, et à d’autres dirigeants houthis, est d’accuser les opposants de l’Iran dans les pays du Golfe de "preneurs d’otages". Il s’agit du comportement d’un criminel qui fait porter le chapeau de ses méfaits à ses adversaires !
Nasrallah a nié une évidence qui s’offre au monde, sans hésiter, ni prendre en considération la réalité et la vérité, à savoir que le Liban, peuple et État, est un pays otage du Hezbollah et de ses alliés, une "monnaie d’échange pour l’Iran", qui l’a transformé en un pays miné par la pauvreté, la faim, la misère, et le dénuement, dans l’attente de conclure un accord avec l’Occident.
Ceux que Nasrallah a appelé "les otages du Golfe" sont en réalité des Libanais qui vivent dans la prospérité, et ont la chance de produire et de travailler. Ils bénéficient du bien-être d’avoir de l’électricité, de l’eau, des transports, des services de soins et de santé, des loisirs dans des clubs et des centres de villégiature, de voyager et de faire du tourisme, et subviennent, de surcroît, aux besoins du peuple libanais sur ses terres…
La déclaration pathétique de Nasrallah, dans son absurdité, son mépris total pour ses auditeurs, et son esquive de la vérité s’est transformée en blague sarcastique relayée sur les réseaux sociaux dans un tweet disant : "Pauvre tante Mahassen, tous ses enfants sont des otages. Elle en a deux en Arabie saoudite qui lui transfèrent 600 dollars par mois, un otage au Koweït qui travaille dans le pétrole, et sa fille Outour qui a épousé son cousin et se retrouve otage à Dubai" # Sajed.
Cette dérision qu’on retrouve sur bien des lèvres, met en exergue l’échec du Hezbollah à gérer le Liban et à tromper la prise de conscience des Libanais. Cet échec ne se manifeste pas dans l’incapacité du parti à gérer les parties prenantes de cet establishment corrompu, qu’il a terrorisées et qui lui courbent l’échine, mais plutôt dans son échec croissant, devenu catastrophique et destructeur, dans la gestion des différends entre ses partisans, et dans la rationalisation des désirs contradictoires de sa clique pour le pouvoir, l’argent et l’influence.
À chaque fois que les Libanais voient poindre à l’horizon l’espoir de voir les efforts des pays amis réussir à améliorer, quoique de manière relative, les relations du Liban avec les pays arabes, l’Arabie saoudite, le Koweït et les Émirats arabes unis, un responsable du Hezbollah au Liban s’évertue à jeter de l’huile sur feu, et à attiser la colère, comme s’il était chargé par ses commanditaires de nous garder en otages réduits au silence et en marchandise prête à être troquée l’heure venue au plus offrant…
Pour l'action et l'unité
Nous sommes las de cet échange pataud entre vous, et de grâce, que les médias et les réseaux sociaux s’abstiennent de diffuser ces diatribes mutuelles, ne serait-ce que par pitié pour notre intelligence, nos oreilles et nos aptitudes culturelles et intellectuelles…
Nul espoir de poursuivre sans renverser votre autorité et défaire votre système. Il en va de l’avenir de nos générations qui sera décidé par un peuple libre et uni et non par vos partis.
Nul espoir non plus:
- sans trouver une alternative politique en mesure de faire bouger le système et de le faire tomber,
- sans réformer le pouvoir judiciaire et en faire une autorité indépendante,
- sans traduire cette caste criminelle, corrompue et subordonnée à l’étranger, devant la justice pour répondre de ses actes et recouvrer l’argent public et celui des déposants, et sans les jeter derrière les barreaux de la honte et du repentir.
Il est impératif de renverser le système - et le moyen pour ce faire est de créer une alternative politique capable, nationale, transcendant les appartenances communautaires, régionales et générationnelles, moderne, démocratique et visionnaire.
Alors, allons de ce pas unir, mobiliser et inclure les forces individuelles et collectives dans la lutte pour le changement.
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