Fadi Karam, député du bloc de la République forte, a déclaré, mardi, que « la confiance n'existe pas entre les Forces libanaises (FL) et le Courant patriotique libre (CPL), mais que la convergence porte sur le nom du candidat à la présidence et non sur les principes des deux blocs ».
Il a, dans ce sens, précisé que les Forces libanaises(FL), le Courant patriotique libre (CPL) et l’opposition « continuent de soutenir l'ancien ministre Jihad Azour ». Il s’attend également à ce que M. Azour, qui obtenu 59 voix contre 51 pour le chef des Marada, Sleiman Frangié, lors de la séance électorale parlementaire du 14 juin, « recueille un plus grand nombre de votes lors du prochain scrutin, auquel devrait appeler le président de la Chambre, Nabih Berry ».
Sur l'arrivée à Beyrouth de l’envoyé spécial du président français Emmanuel Macron pour le Liban, Jean-Yves Le Drian, M. Karam a annoncé qu'il rencontrera des responsables libanais et des chefs de blocs parlementaires et de partis politiques. « Sa mission demeure toutefois ‘exploratoire’, dans le but de comprendre ce qui peut être proposé, dans l’intérêt du Liban, au lendemain de l’échec de l’initiative française précédente », a-t-il indiqué dans une interview accordée à la Voix de tout le Liban.
M. Karam a, par ailleurs, souligné que « le problème au Liban est politique, loin de toute bataille présidentielle. La profonde division existe entre un parti qui veut avoir une mainmise sur le Liban et une opposition qui défend son existence et la culture de la société ». Il a, dans ce contexte, considéré qu' « au Liban, les ententes doivent être établies à partir d'un véritable partenariat ou sur la base d'une nouvelle formule ».
Il a, dans ce sens, précisé que les Forces libanaises(FL), le Courant patriotique libre (CPL) et l’opposition « continuent de soutenir l'ancien ministre Jihad Azour ». Il s’attend également à ce que M. Azour, qui obtenu 59 voix contre 51 pour le chef des Marada, Sleiman Frangié, lors de la séance électorale parlementaire du 14 juin, « recueille un plus grand nombre de votes lors du prochain scrutin, auquel devrait appeler le président de la Chambre, Nabih Berry ».
Sur l'arrivée à Beyrouth de l’envoyé spécial du président français Emmanuel Macron pour le Liban, Jean-Yves Le Drian, M. Karam a annoncé qu'il rencontrera des responsables libanais et des chefs de blocs parlementaires et de partis politiques. « Sa mission demeure toutefois ‘exploratoire’, dans le but de comprendre ce qui peut être proposé, dans l’intérêt du Liban, au lendemain de l’échec de l’initiative française précédente », a-t-il indiqué dans une interview accordée à la Voix de tout le Liban.
M. Karam a, par ailleurs, souligné que « le problème au Liban est politique, loin de toute bataille présidentielle. La profonde division existe entre un parti qui veut avoir une mainmise sur le Liban et une opposition qui défend son existence et la culture de la société ». Il a, dans ce contexte, considéré qu' « au Liban, les ententes doivent être établies à partir d'un véritable partenariat ou sur la base d'une nouvelle formule ».
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