Aujourd’hui les Libanais ne peuvent accéder gratuitement qu’à 40 kilomètres du littoral sur les 220 existants. Consacrée comme espace public par de multiples législations, la côte libanaise subit des violations depuis des décennies.
Pourtant les propriétaires demeurent impunis. Ici Beyrouth a mené l’enquête pour comprendre les enjeux sociaux, économiques et politiques de cette problématique, symptomatique d’un État gangréné par la corruption et les passe-droits, qui prive les citoyens de leurs biens publics.
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