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[audio mp3="https://icibeyrouth.com/wp-content/uploads/2023/07/Un-raz-de-maree-couleur-rose-guimauve-se-prepare-a-deferler-aujourdhui-mercredi-dans-les-salles.mp3"][/audio]
Un raz de marée couleur rose guimauve se prépare à déferler aujourd'hui, mercredi, dans les salles obscures françaises, à l’occasion de la sortie tant attendue du film Barbie. Accompagné d’une campagne promotionnelle flamboyante, ce long métrage promet une réinterprétation pétillante et décalée de l’histoire de la plus illustre des poupées.
Alors que l’industrie cinématographique hollywoodienne est en proie à une grève des acteurs, la production a su cultiver le mystère autour de ce blockbuster estival, qui cible un auditoire allant des adolescents aux adultes. Les premiers aperçus du film, avec les stars Margot Robbie et Ryan Gosling incarnant respectivement Barbie et Ken, ont déjà enflammé les réseaux sociaux.
L’éblouissante Margot Robbie, connue pour ses rôles dans Le Loup de Wall Street et récemment dans Babylon, prête ses traits à l’emblématique poupée. Dans une bande-annonce, elle est sommée d’échanger ses escarpins contre des sandales Birkenstock pour quitter son univers idyllique de Barbie Land et s’immerger dans la réalité.
Visuellement, le film promet un festin pour les yeux avec Ryan Gosling exhibant son torse sous un manteau de fourrure, des chorégraphies outrancièrement kitsch, Margot Robbie pilotant une voiture Barbie entièrement en plastique ou sautant du toit de sa maison de poupées, le duo en rollers fluo sur une plage californienne…
Le film Barbie promet un spectacle multigénérationnel avec au casting l’indomptable Helen Mirren (narratrice), qui côtoie les nouvelles venues Emma McKay (Barbie lauréate du prix Nobel de physique) et Dua Lipa (Barbie sirène, dont une chanson, Dance t0he Night, inspire une des chorégraphies).
Margot Robbie a affirmé lors de l’avant-première européenne du film à Londres que, malgré son apparence suintant le rose et les paillettes, le film «est incroyablement joyeux et hilarant». Mais il est aussi «très intelligent, avec beaucoup à dire. (…) Aucun autre film ne ressemble à cela».
La réalisatrice Greta Gerwig, figure du cinéma indépendant et connue pour la comédie new-yorkaise France Ha (2012), a saisi cette occasion de visibilité sans précédent avec ce blockbuster. Collaborant à nouveau avec son partenaire Noah Baumbach à l’écriture, Gerwig continue sa trajectoire ascendante dans le cinéma. Après avoir adapté Les Filles du docteur March en 2020, elle se prépare à travailler sur Les Chroniques de Narnia pour Netflix.
Pour Mattel, le fabricant californien des poupées Barbie, le film tombe à point nommé pour dépoussiérer l’image de sa poupée et la transformer en une figure emblématique du «girl power», dans un contexte de critique du patriarcat, du poids des normes et du sexisme.
Lancée il y a 64 ans, Barbie est devenue l’un des jouets les plus vendus au monde. Mais son univers semble désormais décalé par rapport aux aspirations actuelles de lutte contre les stéréotypes de genre et pour plus de diversité. Après des décennies d’uniformité de type blond platine et de mensurations irréalistes, Barbie a entrepris un vaste changement d’image en 2016, diversifiant ses modèles et introduisant des versions «ronde», «petite» et «grande» de la poupée, qui compte désormais plus de 175 modèles différents.
Avec AFP
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Un raz de marée couleur rose guimauve se prépare à déferler aujourd'hui, mercredi, dans les salles obscures françaises, à l’occasion de la sortie tant attendue du film Barbie. Accompagné d’une campagne promotionnelle flamboyante, ce long métrage promet une réinterprétation pétillante et décalée de l’histoire de la plus illustre des poupées.
Alors que l’industrie cinématographique hollywoodienne est en proie à une grève des acteurs, la production a su cultiver le mystère autour de ce blockbuster estival, qui cible un auditoire allant des adolescents aux adultes. Les premiers aperçus du film, avec les stars Margot Robbie et Ryan Gosling incarnant respectivement Barbie et Ken, ont déjà enflammé les réseaux sociaux.
L’éblouissante Margot Robbie, connue pour ses rôles dans Le Loup de Wall Street et récemment dans Babylon, prête ses traits à l’emblématique poupée. Dans une bande-annonce, elle est sommée d’échanger ses escarpins contre des sandales Birkenstock pour quitter son univers idyllique de Barbie Land et s’immerger dans la réalité.
Visuellement, le film promet un festin pour les yeux avec Ryan Gosling exhibant son torse sous un manteau de fourrure, des chorégraphies outrancièrement kitsch, Margot Robbie pilotant une voiture Barbie entièrement en plastique ou sautant du toit de sa maison de poupées, le duo en rollers fluo sur une plage californienne…
Le film Barbie promet un spectacle multigénérationnel avec au casting l’indomptable Helen Mirren (narratrice), qui côtoie les nouvelles venues Emma McKay (Barbie lauréate du prix Nobel de physique) et Dua Lipa (Barbie sirène, dont une chanson, Dance t0he Night, inspire une des chorégraphies).
Margot Robbie a affirmé lors de l’avant-première européenne du film à Londres que, malgré son apparence suintant le rose et les paillettes, le film «est incroyablement joyeux et hilarant». Mais il est aussi «très intelligent, avec beaucoup à dire. (…) Aucun autre film ne ressemble à cela».
La réalisatrice Greta Gerwig, figure du cinéma indépendant et connue pour la comédie new-yorkaise France Ha (2012), a saisi cette occasion de visibilité sans précédent avec ce blockbuster. Collaborant à nouveau avec son partenaire Noah Baumbach à l’écriture, Gerwig continue sa trajectoire ascendante dans le cinéma. Après avoir adapté Les Filles du docteur March en 2020, elle se prépare à travailler sur Les Chroniques de Narnia pour Netflix.
Pour Mattel, le fabricant californien des poupées Barbie, le film tombe à point nommé pour dépoussiérer l’image de sa poupée et la transformer en une figure emblématique du «girl power», dans un contexte de critique du patriarcat, du poids des normes et du sexisme.
Lancée il y a 64 ans, Barbie est devenue l’un des jouets les plus vendus au monde. Mais son univers semble désormais décalé par rapport aux aspirations actuelles de lutte contre les stéréotypes de genre et pour plus de diversité. Après des décennies d’uniformité de type blond platine et de mensurations irréalistes, Barbie a entrepris un vaste changement d’image en 2016, diversifiant ses modèles et introduisant des versions «ronde», «petite» et «grande» de la poupée, qui compte désormais plus de 175 modèles différents.
Avec AFP
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