©Photo Damien Meyer/AFP/Archives
La Française Anastasiia Kirpichnikova s'est qualifiée pour la finale du 1500 m nage libre lundi aux Championnats du monde de natation de Fukuoka (Japon), avec un record de France à la clé.
La nageuse d'origine russe, naturalisée française en avril dernier, a terminé sa série en 16 min 00 sec 40, battant par la même occasion le record de France de Laure Manaudou (16 min 03 sec 01) qui datait de 2006. Il s'agissait du plus vieux record de la natation française.
"Je suis contente parce qu'aux Championnats de France, je ne l'avais pas battu pour une seconde", a réagi Kirpichnikova, qui a également nagé les courses en eau libre la semaine dernière.
Elle réalise le sixième temps des séries, dominées par l'Américaine Katie Ledecky en 15 min 41 sec 22, et disputera la finale mardi.
Un autre record de France de Laura Manaudou a failli tomber lundi.
Pauline Mahieu s'est qualifiée pour les demi-finales du 100 m dos en battant son record personnel dès les séries du matin en 59 sec 60, à un dixième de la marque de Manaudou.
"J'avoue que le record de France, je l'avais en tête, ce n'est toujours pas ça mais j'ai la chance de pouvoir re-nager cet après-midi (pour les demi-finales), donc j'ai hâte", a-t-elle déclaré.
Chez les hommes, Mewen Tomac et Yohann Ndoye-Brouard participeront tous les deux aux demi-finales du 100 m dos.
Tomac s'est qualifié avec le sixième temps, tandis que Ndoye-Brouard a pris la 15e et avant-dernière place.
Au pied du podium aux Mondiaux de Budapest l'an dernier, Ndoye-Brouard a pris des risques en relâchant son effort dans les derniers mètres. "J'ai serré les dents (en attendant les résultats, NDLR). Mais ça passe donc je suis quand même content."
"J'ai eu de la chance de ne pas me faire éjecter dès les séries, et ce soir (en demi-finales), ce sera beaucoup mieux", a-t-il promis.
En revanche, Analia Pigrée, championne d'Europe du 50 m dos l'été dernier, n'est pas parvenue à se qualifier pour les demies du 100 m dos, tout comme Hadrien Salvan sur 200 m nage libre, 17e temps des séries.
La nageuse d'origine russe, naturalisée française en avril dernier, a terminé sa série en 16 min 00 sec 40, battant par la même occasion le record de France de Laure Manaudou (16 min 03 sec 01) qui datait de 2006. Il s'agissait du plus vieux record de la natation française.
"Je suis contente parce qu'aux Championnats de France, je ne l'avais pas battu pour une seconde", a réagi Kirpichnikova, qui a également nagé les courses en eau libre la semaine dernière.
Elle réalise le sixième temps des séries, dominées par l'Américaine Katie Ledecky en 15 min 41 sec 22, et disputera la finale mardi.
Un autre record de France de Laura Manaudou a failli tomber lundi.
Pauline Mahieu s'est qualifiée pour les demi-finales du 100 m dos en battant son record personnel dès les séries du matin en 59 sec 60, à un dixième de la marque de Manaudou.
"J'avoue que le record de France, je l'avais en tête, ce n'est toujours pas ça mais j'ai la chance de pouvoir re-nager cet après-midi (pour les demi-finales), donc j'ai hâte", a-t-elle déclaré.
Chez les hommes, Mewen Tomac et Yohann Ndoye-Brouard participeront tous les deux aux demi-finales du 100 m dos.
Tomac s'est qualifié avec le sixième temps, tandis que Ndoye-Brouard a pris la 15e et avant-dernière place.
Au pied du podium aux Mondiaux de Budapest l'an dernier, Ndoye-Brouard a pris des risques en relâchant son effort dans les derniers mètres. "J'ai serré les dents (en attendant les résultats, NDLR). Mais ça passe donc je suis quand même content."
"J'ai eu de la chance de ne pas me faire éjecter dès les séries, et ce soir (en demi-finales), ce sera beaucoup mieux", a-t-il promis.
En revanche, Analia Pigrée, championne d'Europe du 50 m dos l'été dernier, n'est pas parvenue à se qualifier pour les demies du 100 m dos, tout comme Hadrien Salvan sur 200 m nage libre, 17e temps des séries.
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