Pour la troisième commémoration de l’explosion du 4 août 2020 au port de Beyrouth, les États-Unis ont stigmatisé le blocage de l’enquête, pour des raisons éminemment politiques.
Dans une déclaration, vendredi, le porte-parole du Département d’État, Matthew Miller, a d’emblée souligné que Washington « reste aux côtés du peuple libanais », avant d’insister : « Les victimes et leurs familles méritent que justice soit faite et que les responsables de la catastrophe et de ses causes profondes rendent compte » de leurs actes ou de leur négligence.
M. Miller a déploré « l'absence de tout progrès au niveau de l’enquête », jugeant le blocage « inacceptable ». Il a souligné ensuite « la nécessité d'une réforme judiciaire et d'un respect des lois au Liban ».
Dans une déclaration, vendredi, le porte-parole du Département d’État, Matthew Miller, a d’emblée souligné que Washington « reste aux côtés du peuple libanais », avant d’insister : « Les victimes et leurs familles méritent que justice soit faite et que les responsables de la catastrophe et de ses causes profondes rendent compte » de leurs actes ou de leur négligence.
M. Miller a déploré « l'absence de tout progrès au niveau de l’enquête », jugeant le blocage « inacceptable ». Il a souligné ensuite « la nécessité d'une réforme judiciaire et d'un respect des lois au Liban ».
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