©Des missiles sol-air exposés par les gardiens de la révolution iranienne lors d'un exercice militaire en Iran.
De lourdes explosions ont retenti dimanche avant l'aube en Syrie dans des dépôts de missiles de milices pro-iraniennes situés près de Damas, causant des dégâts matériels, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
Les "violentes explosions" entendues par les habitants de Damas et des alentours proviennent "de dépôts des milices pro-iraniennes", alliées du régime syrien, dans une zone montagneuse à l'est de la capitale, a ajouté l'ONG.
"On ne sait pas s'il s'agit d'une frappe aérienne ou d'une opération terrestre", a déclaré à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'OSDH basée au Royaume-Uni et qui dispose d'un vaste réseau de sources en Syrie.
De son côté, l'agence officielle Sana avait indiqué durant la nuit que "des bruits d'explosions" avaient été entendus "dans la périphérie de Damas", sans en préciser la cause.
Lundi, des frappes israéliennes sur des positions militaires et des dépôts d'armes dans la périphérie de Damas avaient causé la mort de quatre militaires syriens et deux combattants pro-iraniens, selon l'OSDH.
Deux soldats syriens et cinq combattants étrangers avaient également été blessés dans les raids qui ont détruit des dépôts d'armes et de munitions des milices pro-iraniennes, alliées du régime syrien, notamment près de l'aéroport international de Damas.
Israël commente rarement ces frappes, mais affirme vouloir empêcher l'Iran de s'implanter à ses portes.
Le 19 juillet, trois combattants pro-régime avaient été tués et quatre blessés dans des frappes israéliennes nocturnes contre des positions de l'armée et de groupes pro-iraniens près de Damas, selon l'OSDH.
Israël avait également ciblé une base de défense aérienne dans la province côtière de Tartous, selon la même source.
Depuis le début de la guerre en Syrie en 2011, Israël a mené des centaines de frappes aériennes contre des positions du régime syrien ainsi que des forces iraniennes et de la formation libanaise pro-iranienne du Hezbollah, alliés de Damas et ennemis jurés d'Israël.
Georges Haddad, avec AFP
Les "violentes explosions" entendues par les habitants de Damas et des alentours proviennent "de dépôts des milices pro-iraniennes", alliées du régime syrien, dans une zone montagneuse à l'est de la capitale, a ajouté l'ONG.
"On ne sait pas s'il s'agit d'une frappe aérienne ou d'une opération terrestre", a déclaré à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'OSDH basée au Royaume-Uni et qui dispose d'un vaste réseau de sources en Syrie.
De son côté, l'agence officielle Sana avait indiqué durant la nuit que "des bruits d'explosions" avaient été entendus "dans la périphérie de Damas", sans en préciser la cause.
Lundi, des frappes israéliennes sur des positions militaires et des dépôts d'armes dans la périphérie de Damas avaient causé la mort de quatre militaires syriens et deux combattants pro-iraniens, selon l'OSDH.
Deux soldats syriens et cinq combattants étrangers avaient également été blessés dans les raids qui ont détruit des dépôts d'armes et de munitions des milices pro-iraniennes, alliées du régime syrien, notamment près de l'aéroport international de Damas.
Israël commente rarement ces frappes, mais affirme vouloir empêcher l'Iran de s'implanter à ses portes.
Le 19 juillet, trois combattants pro-régime avaient été tués et quatre blessés dans des frappes israéliennes nocturnes contre des positions de l'armée et de groupes pro-iraniens près de Damas, selon l'OSDH.
Israël avait également ciblé une base de défense aérienne dans la province côtière de Tartous, selon la même source.
Depuis le début de la guerre en Syrie en 2011, Israël a mené des centaines de frappes aériennes contre des positions du régime syrien ainsi que des forces iraniennes et de la formation libanaise pro-iranienne du Hezbollah, alliés de Damas et ennemis jurés d'Israël.
Georges Haddad, avec AFP
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