Le député Nadim Gemayel a condamné dimanche l'interdiction de la projection du film Barbie au Liban, souhaitée par le ministre sortant de la Culture, Mohammad Mortada, accusant le Hezbollah de privilégier la "culture de la mort".
Dans un commentaire sur "X" dimanche, M. Gemayel a non seulement critiqué la demande adressée par M. Mortada, proche de la formation pro-iranienne, à la Sûreté générale pour interdire le film qui caracole en tête du box-office mondial, mais il a surtout relevé le contraste au niveau des valeurs dans le pays. "Ils (le Hezbollah) veulent empêcher la projection du film Barbie, alors qu'ils font assister leurs enfants à des films sur les meurtres et le jihad (guerre de religion). Notre culture promeut la vie, tandis que la leur embrasse la mort et le terrorisme. L'idéologie du Hezbollah s'avère plus dangereuse que ses armes", a affirmé M. Gemayel.
Mohammad Mortada avait justifié sa décision d’interdire la projection de Barbie par le fait que le film aborde les thèmes de l'homosexualité et du changement de sexe. Il avait demandé à la Sûreté générale de la faire appliquer.
«Si la projection du film Barbie est interdite dans les cinémas, nous le présenterons dans les espaces publics du Liban. Qu'ils essaient de nous en empêcher», a-t-il lancé.
Dans un commentaire sur "X" dimanche, M. Gemayel a non seulement critiqué la demande adressée par M. Mortada, proche de la formation pro-iranienne, à la Sûreté générale pour interdire le film qui caracole en tête du box-office mondial, mais il a surtout relevé le contraste au niveau des valeurs dans le pays. "Ils (le Hezbollah) veulent empêcher la projection du film Barbie, alors qu'ils font assister leurs enfants à des films sur les meurtres et le jihad (guerre de religion). Notre culture promeut la vie, tandis que la leur embrasse la mort et le terrorisme. L'idéologie du Hezbollah s'avère plus dangereuse que ses armes", a affirmé M. Gemayel.
Mohammad Mortada avait justifié sa décision d’interdire la projection de Barbie par le fait que le film aborde les thèmes de l'homosexualité et du changement de sexe. Il avait demandé à la Sûreté générale de la faire appliquer.
«Si la projection du film Barbie est interdite dans les cinémas, nous le présenterons dans les espaces publics du Liban. Qu'ils essaient de nous en empêcher», a-t-il lancé.
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