Le département culturel des Forces libanaises a stigmatisé la décision du ministre sortant de la Culture, Mohammad Mortada, d’interdire la projection du film Barbie au Liban sous prétexte qu’il fait la promotion de l’homosexualité et du changement de sexe. M. Mortada avait demandé à la Sûreté générale d’appliquer cette décision.
«Celle-ci ne correspond pas au Liban, pays des libertés et de la diversité culturelle», ont souligné les FL dans un communiqué, mettant en garde contre toute atteinte à ces valeurs «consacrées par la Constitution».
Le parti que préside Samir Geagea a défendu âprement le droit des Libanais à choisir ou non de visionner le film qui se place en tête du box-office mondial. «Nous nous devons de respecter les différentes cultures et non pas de nous transformer en une société qui rejette une œuvre culturelle parce qu’elle ne correspond pas aux vues de certains responsables», a-t-il critiqué.
Il a relevé que des pays islamiques comme l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis ou l’Égypte n’ont pas jusqu’à présent interdit la projection du film «au moment où le Liban enregistre un recul sans précédent au niveau des libertés, sous toutes leurs formes». C’est ce qui a fait dire aux Forces libanaises que les libertés publiques sont aujourd’hui en jeu dans le pays et qu’elles continueront de s’opposer à ces «pratiques répressives».
«Celle-ci ne correspond pas au Liban, pays des libertés et de la diversité culturelle», ont souligné les FL dans un communiqué, mettant en garde contre toute atteinte à ces valeurs «consacrées par la Constitution».
Le parti que préside Samir Geagea a défendu âprement le droit des Libanais à choisir ou non de visionner le film qui se place en tête du box-office mondial. «Nous nous devons de respecter les différentes cultures et non pas de nous transformer en une société qui rejette une œuvre culturelle parce qu’elle ne correspond pas aux vues de certains responsables», a-t-il critiqué.
Il a relevé que des pays islamiques comme l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis ou l’Égypte n’ont pas jusqu’à présent interdit la projection du film «au moment où le Liban enregistre un recul sans précédent au niveau des libertés, sous toutes leurs formes». C’est ce qui a fait dire aux Forces libanaises que les libertés publiques sont aujourd’hui en jeu dans le pays et qu’elles continueront de s’opposer à ces «pratiques répressives».
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