Le chef du Courant patriotique libre, Gebran Bassil, s’en est vivement pris au camp de l’opposition, mais aussi au chef du Parlement, Nabih Berry, au cours d’un meeting tenu par le CPL à Batroun.
M. Bassil a, dans un premier temps, estimé que "tous les responsables libanais s’emploient intentionnellement à prolonger la vacance présidentielle". "Ils veulent nous imposer un président dont la représentation est faible", a lancé le chef du CPL. Il a d'autre part exprimé sa crainte d'un "retour à une nouvelle alliance de Tayouné visant à saper l'élection présidentielle". Il a accusé sur ce plan le camp de l’opposition de "complicité avec celui qui a appelé au dialogue" dans une pique lancée au président de la Chambre, Nabih Berry. Ce dernier avait suggéré la semaine dernière un dialogue de sept jours avant la tenue de séances parlementaires successives pour l’élection du président de la République.
Le chef de la formation aouniste a critiqué le refus du dialogue manifesté par le camp de l’opposition, dont notamment le leader des Forces libanaises, Samir Geagea, qui avait clairement exprimé son "refus de dialoguer avec des criminels" (en allusion à l'axe du Hezbollah), dimanche dernier, lors de la messe annuelle à l’intention des martyrs de la Résistance libanaise.
"Lorsque nous parvenons avec les Français à une formule de concertation et de dialogue limitée au niveau du programme, du temps et de la forme, et débouchant sur des séances électorales successives, le chef du Parlement appelle à un dialogue traditionnel", s'est insurgé le chef du CPL. Il a dans ce sens estimé "qu’en rejetant catégoriquement le dialogue, le camp de l’opposition offre un service au chef du Parlement en entravant l'élection" présidentielle.
Rappelons que M. Bassil était paradoxalement le seul à avoir salué l’appel au dialogue de M. Berry, le qualifiant de "positif et constructif". Le chef du CPL tente par tous les moyens de se crédibiliser, mais son dernier discours était comme d'habitude de la poudre aux yeux.
M. Bassil a également critiqué le fait que le chef des Forces libanaises, Samir Geagea "n’a pas évoqué un seul mot sur les réfugiés syriens au cours de son (dernier) discours qui a duré une heure". Et d'ajouter : "Il s'agit d'un crime à l'égard de l'entité libanaise".
M. Bassil a, dans un premier temps, estimé que "tous les responsables libanais s’emploient intentionnellement à prolonger la vacance présidentielle". "Ils veulent nous imposer un président dont la représentation est faible", a lancé le chef du CPL. Il a d'autre part exprimé sa crainte d'un "retour à une nouvelle alliance de Tayouné visant à saper l'élection présidentielle". Il a accusé sur ce plan le camp de l’opposition de "complicité avec celui qui a appelé au dialogue" dans une pique lancée au président de la Chambre, Nabih Berry. Ce dernier avait suggéré la semaine dernière un dialogue de sept jours avant la tenue de séances parlementaires successives pour l’élection du président de la République.
Le chef de la formation aouniste a critiqué le refus du dialogue manifesté par le camp de l’opposition, dont notamment le leader des Forces libanaises, Samir Geagea, qui avait clairement exprimé son "refus de dialoguer avec des criminels" (en allusion à l'axe du Hezbollah), dimanche dernier, lors de la messe annuelle à l’intention des martyrs de la Résistance libanaise.
"Lorsque nous parvenons avec les Français à une formule de concertation et de dialogue limitée au niveau du programme, du temps et de la forme, et débouchant sur des séances électorales successives, le chef du Parlement appelle à un dialogue traditionnel", s'est insurgé le chef du CPL. Il a dans ce sens estimé "qu’en rejetant catégoriquement le dialogue, le camp de l’opposition offre un service au chef du Parlement en entravant l'élection" présidentielle.
Rappelons que M. Bassil était paradoxalement le seul à avoir salué l’appel au dialogue de M. Berry, le qualifiant de "positif et constructif". Le chef du CPL tente par tous les moyens de se crédibiliser, mais son dernier discours était comme d'habitude de la poudre aux yeux.
M. Bassil a également critiqué le fait que le chef des Forces libanaises, Samir Geagea "n’a pas évoqué un seul mot sur les réfugiés syriens au cours de son (dernier) discours qui a duré une heure". Et d'ajouter : "Il s'agit d'un crime à l'égard de l'entité libanaise".
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