Le député Tony Frangié a déclaré lundi que le courant des Marada, présidé par son père, Sleiman Frangié, «était favorable à la tenue d’un dialogue sans conditions, en raison de la dégradation de la situation économique qui ne laisse plus d'autre choix»,
Dans un entretien accordé à la chaîne télévisée libanaise MTV, le député de Zghorta a indiqué que la délégation qatarie n’avait pas fait mention de la candidature du commandant en chef de l’armée, Joseph Aoun, à la présidence. Il a toutefois tenu à préciser que la candidature de son père était toujours de mise. «Sleiman Frangié n’a jamais agi contre l’intérêt général du pays et le retrait de sa candidature est inenvisageable», a-t-il souligné.
Toujours durant le journal télévisé de la MTV, le vice-président de la Chambre, Élias Bou Saab, a lancé un appel «à toutes les personnes à l’étranger qui travaillent en faveur de candidats présidentiels de ne pas soutenir ceux dont l’accès à Baabda viole la Constitution, notamment celle du commandant en chef de l’armée, Joseph Aoun».
Le camp de la moumanaa semble pressentir le vent tourner internationalement en faveur du général Joseph Aoun et tente par tous les moyens de torpiller ses chances d’accéder à la tête de l’État, en prolongeant la vacance présidentielle et en bloquant les institutions.
Dans un entretien accordé à la chaîne télévisée libanaise MTV, le député de Zghorta a indiqué que la délégation qatarie n’avait pas fait mention de la candidature du commandant en chef de l’armée, Joseph Aoun, à la présidence. Il a toutefois tenu à préciser que la candidature de son père était toujours de mise. «Sleiman Frangié n’a jamais agi contre l’intérêt général du pays et le retrait de sa candidature est inenvisageable», a-t-il souligné.
Toujours durant le journal télévisé de la MTV, le vice-président de la Chambre, Élias Bou Saab, a lancé un appel «à toutes les personnes à l’étranger qui travaillent en faveur de candidats présidentiels de ne pas soutenir ceux dont l’accès à Baabda viole la Constitution, notamment celle du commandant en chef de l’armée, Joseph Aoun».
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