Ghayath Yazbeck, député des Forces libanaises, a annoncé mercredi que le bloc de la République forte (FL) s’apprête à «présenter une pétition pour la fermeture du bureau du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) au Liban, ce dernier s’étant transformé en Haut-commissariat visant à promouvoir la nouvelle occupation syrienne».
Dans un entretien accordé à la Voix de tout le Liban, il a qualifié cette crise d’«invasion syrienne systématique qui menace le Liban», précisant que «toute justification accordant le statut de réfugiés aux Syriens ne tient plus».
M. Yazbeck a imputé au gouvernement libanais la responsabilité de la situation actuelle, «car il se contente de publier des déclarations au lieu de mobiliser ses forces afin de résoudre la crise».
Il a dans ce cadre dénoncé le boycott par les ministres du Courant patriotique libre des réunions du gouvernement consacrées à la crise des déplacés.
Sur la vacance présidentielle qui perdure depuis le 31 octobre (date à laquelle le mandat de l’ancien président de la République, Michel Aoun, a pris fin), il a indiqué que la situation ne changera que lorsqu’il y aura «une prise de conscience nationale, miraculeuse», de la part du Hezbollah et du mouvement Amal.
Dans un entretien accordée au quotidien koweïtien Al-Anbaa, le député FL a appelé les deux formations à «faire primer les intérêts nationaux, à respecter la Constitution, à se rendre au Parlement et à élire un président de la République», relevant que l’alliance entre le Hezbollah et le chef du CPL, Gebran Bassil n’existe plus et que leurs relations sont «tendues».
En réponse à une question sur la candidature du commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun, à la présidence, M. Yazbeck soutient: «Nous sommes dans la phase de recherche d’un troisième candidat». D’après lui, le général Aoun «est celui qui bénéficie le plus de la confiance de tous les acteurs locaux et internationaux concernés par ce dossier».
Dans un entretien accordé à la Voix de tout le Liban, il a qualifié cette crise d’«invasion syrienne systématique qui menace le Liban», précisant que «toute justification accordant le statut de réfugiés aux Syriens ne tient plus».
M. Yazbeck a imputé au gouvernement libanais la responsabilité de la situation actuelle, «car il se contente de publier des déclarations au lieu de mobiliser ses forces afin de résoudre la crise».
Il a dans ce cadre dénoncé le boycott par les ministres du Courant patriotique libre des réunions du gouvernement consacrées à la crise des déplacés.
Sur la vacance présidentielle qui perdure depuis le 31 octobre (date à laquelle le mandat de l’ancien président de la République, Michel Aoun, a pris fin), il a indiqué que la situation ne changera que lorsqu’il y aura «une prise de conscience nationale, miraculeuse», de la part du Hezbollah et du mouvement Amal.
Dans un entretien accordée au quotidien koweïtien Al-Anbaa, le député FL a appelé les deux formations à «faire primer les intérêts nationaux, à respecter la Constitution, à se rendre au Parlement et à élire un président de la République», relevant que l’alliance entre le Hezbollah et le chef du CPL, Gebran Bassil n’existe plus et que leurs relations sont «tendues».
En réponse à une question sur la candidature du commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun, à la présidence, M. Yazbeck soutient: «Nous sommes dans la phase de recherche d’un troisième candidat». D’après lui, le général Aoun «est celui qui bénéficie le plus de la confiance de tous les acteurs locaux et internationaux concernés par ce dossier».
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