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- Guerre à Gaza: le bilan s’alourdit, les hôpitaux débordés
Dans les hôpitaux de la bande de Gaza, la situation est catastrophique. L'hôpital al-Chifa de la ville de Gaza déborde de blessés et manque de matériel, y compris d'oxygène.
De nouveaux raids israéliens ont frappé mercredi Gaza, où des immeubles entiers ont été détruits, en riposte à l'attaque lancée par le mouvement palestinien Hamas, qui a traumatisé Israël et déclenché une guerre dont les morts se comptent déjà par milliers.
L'armée israélienne a annoncé le chiffre "impressionnant" de 1.200 Israéliens tués, pour la plupart des civils non armés, tandis que dans la bande de Gaza le bilan s'élève à 1.055 morts, dont 21 victimes en Cisjordanie, selon les autorités locales. Le ministère palestinien de la Santé a signalé que 5.185 personnes sont portées disparues.
Cette attaque a provoqué la sidération dans le pays, où au moins 169 soldats ont été tués en quatre jours, selon l'armée, et où se multiplient les récits de rescapés ou de témoins racontant des scènes d'extrême violence.
Israël a riposté en pilonnant sans relâche l'enclave palestinienne, mobilisé 300.000 réservistes et déployé des dizaines de milliers de soldats autour de Gaza et à sa frontière nord avec le Liban.
L'offensive du Hamas a suscité de multiples condamnations internationales, ainsi que des inquiétudes face à l'éventualité d'un assaut terrestre sur Gaza tandis que la situation reste tendue à la frontière d'Israël avec le Liban.
L'armée israélienne a frappé mercredi une nouvelle fois le sud du Liban, en riposte à des tirs de roquettes revendiqués par le Hezbollah pro-iranien, allié du Hamas.
Par ailleurs, le secrétaire d'État américain, Antony Blinken, est attendu en Israël et en Jordanie jeudi.
Les hôpitaux débordés
Dans les hôpitaux de la bande de Gaza, la situation est catastrophique. L'hôpital al-Chifa de la ville de Gaza déborde de blessés et manque de matériel, y compris d'oxygène. "Certains meurent bien avant" d'avoir pu être soignés, raconte un médecin.
L'ONU a par ailleurs affirmé que le siège total du territoire, où plus de 263.000 personnes ont déjà été déplacées par la guerre, était "interdit" par le droit international humanitaire.
De nouveaux raids israéliens ont frappé mercredi Gaza, où des immeubles entiers ont été détruits, en riposte à l'attaque lancée par le mouvement palestinien Hamas, qui a traumatisé Israël et déclenché une guerre dont les morts se comptent déjà par milliers.
L'armée israélienne a annoncé le chiffre "impressionnant" de 1.200 Israéliens tués, pour la plupart des civils non armés, tandis que dans la bande de Gaza le bilan s'élève à 1.055 morts, dont 21 victimes en Cisjordanie, selon les autorités locales. Le ministère palestinien de la Santé a signalé que 5.185 personnes sont portées disparues.
Cette attaque a provoqué la sidération dans le pays, où au moins 169 soldats ont été tués en quatre jours, selon l'armée, et où se multiplient les récits de rescapés ou de témoins racontant des scènes d'extrême violence.
Israël a riposté en pilonnant sans relâche l'enclave palestinienne, mobilisé 300.000 réservistes et déployé des dizaines de milliers de soldats autour de Gaza et à sa frontière nord avec le Liban.
L'offensive du Hamas a suscité de multiples condamnations internationales, ainsi que des inquiétudes face à l'éventualité d'un assaut terrestre sur Gaza tandis que la situation reste tendue à la frontière d'Israël avec le Liban.
L'armée israélienne a frappé mercredi une nouvelle fois le sud du Liban, en riposte à des tirs de roquettes revendiqués par le Hezbollah pro-iranien, allié du Hamas.
Par ailleurs, le secrétaire d'État américain, Antony Blinken, est attendu en Israël et en Jordanie jeudi.
Les hôpitaux débordés
Dans les hôpitaux de la bande de Gaza, la situation est catastrophique. L'hôpital al-Chifa de la ville de Gaza déborde de blessés et manque de matériel, y compris d'oxygène. "Certains meurent bien avant" d'avoir pu être soignés, raconte un médecin.
L'ONU a par ailleurs affirmé que le siège total du territoire, où plus de 263.000 personnes ont déjà été déplacées par la guerre, était "interdit" par le droit international humanitaire.
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