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- Le CCLC prône la neutralité du Liban dans la guerre de Gaza
Le Comité de coordination libano-canadien (CCLC) a exhorté jeudi le gouvernement canadien, les Nations unies et la communauté internationale à œuvrer pour maintenir le Liban dans une position de neutralité vis-à-vis du conflit militaire à Gaza, mettant en garde «contre l’implication du pays dans la guerre en cours», ce qui pourrait «l’exposer à des risques catastrophiques».
Dans un communiqué publié par son bureau de presse, le CCLC a appelé ces instances à «faire pression sur le gouvernement intérimaire du Liban pour qu’il assume ses responsabilités et empêche toute partie libanaise ou non libanaise, de porter atteinte à la souveraineté du Liban». Selon lui, il faut empêcher que celles-ci «utilisent le territoire national comme plate-forme pour la mise en œuvre d’agendas régionaux qui n’ont aucun lien avec la sécurité du Liban et de son peuple».
Le comité a également appelé à «aider les forces militaires et de sécurité à protéger le Liban de toutes atteintes à sa souveraineté, en coopération avec les Forces de maintien de la paix des Nations unies (Finul) et conformément aux dispositions de la résolution 1701».
Il a par ailleurs appelé au «désarmement des groupes libanais et non libanais armés, en application des dispositions de la Constitution et des résolutions pertinentes émises par les Nations unies, de manière à restaurer la pleine souveraineté de l'État libanais».
Le CCLC a en outre plaidé en faveur d’une surveillance rigoureuse des «frontières maritimes, terrestres et aériennes du Liban» pour barrer la voie à l’entrée d’armes dans le pays. Il a appelé «le gouvernement canadien à exercer son influence diplomatique pour protéger le Liban et son peuple».
Pour rappel, le CCLC regroupe cinq organisations, à savoir Kataëb Libano Canada, Lebanese Friends of Canada, Our New Lebanon-Canada, TLDN-The Lebanese Diaspora Network-Canada, World Lebanese Cultural Union-Canada (WLCU), en collaboration avec Civic Influence Hub en tant qu’organisation consultative du comité.
Dans un communiqué publié par son bureau de presse, le CCLC a appelé ces instances à «faire pression sur le gouvernement intérimaire du Liban pour qu’il assume ses responsabilités et empêche toute partie libanaise ou non libanaise, de porter atteinte à la souveraineté du Liban». Selon lui, il faut empêcher que celles-ci «utilisent le territoire national comme plate-forme pour la mise en œuvre d’agendas régionaux qui n’ont aucun lien avec la sécurité du Liban et de son peuple».
Le comité a également appelé à «aider les forces militaires et de sécurité à protéger le Liban de toutes atteintes à sa souveraineté, en coopération avec les Forces de maintien de la paix des Nations unies (Finul) et conformément aux dispositions de la résolution 1701».
Il a par ailleurs appelé au «désarmement des groupes libanais et non libanais armés, en application des dispositions de la Constitution et des résolutions pertinentes émises par les Nations unies, de manière à restaurer la pleine souveraineté de l'État libanais».
Le CCLC a en outre plaidé en faveur d’une surveillance rigoureuse des «frontières maritimes, terrestres et aériennes du Liban» pour barrer la voie à l’entrée d’armes dans le pays. Il a appelé «le gouvernement canadien à exercer son influence diplomatique pour protéger le Liban et son peuple».
Pour rappel, le CCLC regroupe cinq organisations, à savoir Kataëb Libano Canada, Lebanese Friends of Canada, Our New Lebanon-Canada, TLDN-The Lebanese Diaspora Network-Canada, World Lebanese Cultural Union-Canada (WLCU), en collaboration avec Civic Influence Hub en tant qu’organisation consultative du comité.
Ici Beyrouth
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