Les députés des forces de l’opposition ont publié jeudi un communiqué en réaction aux développements survenus à la suite du conflit armé entre Israël et la bande de Gaza, et qui sont «directement liés à la stabilité et à la souveraineté du Liban», selon le texte.
Face à ces inquiétudes quant à une escalade qui pourrait affecter le peuple libanais, les parlementaires ont souligné que «la souveraineté du Liban constitue une limite à ne pas franchir». Ils ont précisé que «aucune faction, en particulier le Hezbollah, n'a le droit d'impliquer le Liban dans des conflits dont il ne peut supporter les conséquences».
«Bien que le Liban ait toujours été un fervent défenseur de la cause palestinienne, pour laquelle il a payé un lourd tribut», on ne devrait pas «tolérer la violation de la souveraineté du Liban», car cela équivaudrait à permettre au «camp de la Moumanaa d’imposer son pouvoir dans la région».
Les forces de l’opposition ont appelé à consolider la situation «intérieure» du pays «en procédant rapidement à l’élection d’un président de la République». Celui-ci aurait pour mission d'unifier «tous les Libanais autour du projet de l’État, de prévenir l'implication illégitime du Liban dans des guerres et de rétablir un pouvoir capable de relever les défis», selon le communiqué.
Les députés ont souligné que «le silence du gouvernement libanais face aux événements à Gaza reflète l’hégémonie du camp de la Moumanaa et de ses alliés qui contrôlent les institutions de l’État». Dans ce sens, ils ont affirmé que «l’inaction du gouvernement libanais le rend responsable d’exposer le pays au danger de la guerre et de la dévastation».
Ils ont catégoriquement rejeté «l'utilisation du territoire libanais pour servir les intérêts iraniens» et condamné «l'escalade dans le sud, qu'elle soit le fait de parties libanaises ou étrangères». Ils ont également critiqué l'initiative de «l'unification des rangs» prônée par l'axe de la Moumanaa.
«Il est inacceptable que le Hezbollah ou toute autre faction palestinienne détienne le pouvoir de décider de la guerre ou de la paix au Liban», peut-on lire dans le communiqué. «La décision souveraine de la guerre ou de la paix appartient exclusivement à l'État libanais, à travers ses institutions constitutionnelles», ont-ils avancé.
Il incombe à L’État libanais «de protéger immédiatement le Liban en prenant les mesures nécessaires pour soutenir l’armée et la Force intérimaire des Nations unies au Liban, en vue d’appliquer la résolution 1701 des Nations unies», selon le communiqué.
Les députés ont enfin estimé que «la paix et la stabilité durables dans la région du Moyen-Orient n’étaient possibles que par la reconnaissance du droit légitime des Palestiniens à établir leur propre État, conformément à l'initiative arabe pour la paix adoptée à Beyrouth en 2002».
Face à ces inquiétudes quant à une escalade qui pourrait affecter le peuple libanais, les parlementaires ont souligné que «la souveraineté du Liban constitue une limite à ne pas franchir». Ils ont précisé que «aucune faction, en particulier le Hezbollah, n'a le droit d'impliquer le Liban dans des conflits dont il ne peut supporter les conséquences».
«Bien que le Liban ait toujours été un fervent défenseur de la cause palestinienne, pour laquelle il a payé un lourd tribut», on ne devrait pas «tolérer la violation de la souveraineté du Liban», car cela équivaudrait à permettre au «camp de la Moumanaa d’imposer son pouvoir dans la région».
Les forces de l’opposition ont appelé à consolider la situation «intérieure» du pays «en procédant rapidement à l’élection d’un président de la République». Celui-ci aurait pour mission d'unifier «tous les Libanais autour du projet de l’État, de prévenir l'implication illégitime du Liban dans des guerres et de rétablir un pouvoir capable de relever les défis», selon le communiqué.
Les députés ont souligné que «le silence du gouvernement libanais face aux événements à Gaza reflète l’hégémonie du camp de la Moumanaa et de ses alliés qui contrôlent les institutions de l’État». Dans ce sens, ils ont affirmé que «l’inaction du gouvernement libanais le rend responsable d’exposer le pays au danger de la guerre et de la dévastation».
Ils ont catégoriquement rejeté «l'utilisation du territoire libanais pour servir les intérêts iraniens» et condamné «l'escalade dans le sud, qu'elle soit le fait de parties libanaises ou étrangères». Ils ont également critiqué l'initiative de «l'unification des rangs» prônée par l'axe de la Moumanaa.
«Il est inacceptable que le Hezbollah ou toute autre faction palestinienne détienne le pouvoir de décider de la guerre ou de la paix au Liban», peut-on lire dans le communiqué. «La décision souveraine de la guerre ou de la paix appartient exclusivement à l'État libanais, à travers ses institutions constitutionnelles», ont-ils avancé.
Il incombe à L’État libanais «de protéger immédiatement le Liban en prenant les mesures nécessaires pour soutenir l’armée et la Force intérimaire des Nations unies au Liban, en vue d’appliquer la résolution 1701 des Nations unies», selon le communiqué.
Les députés ont enfin estimé que «la paix et la stabilité durables dans la région du Moyen-Orient n’étaient possibles que par la reconnaissance du droit légitime des Palestiniens à établir leur propre État, conformément à l'initiative arabe pour la paix adoptée à Beyrouth en 2002».
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