Le chef des Forces libanaises (FL), Samir Geagea, s’est attaqué samedi soir au gouvernement «inactif», formé par «l’axe de la Moumanaa» et le Courant patriotique libre, dénonçant leur incapacité à assumer leurs responsabilités dans le contexte de la crise actuelle à la frontière avec Israël.
Tenant ces propos lors d’un dîner annuel organisé à Meerab par le département de Zahlé au sein des FL, M. Geagea a critiqué le conseil ministériel tenu vendredi, qui a consisté en «de simples discussions et analyses de la situation» et «qui s’est terminé là où il a commencé», sans prise de décision efficace.
Par ailleurs, il s’en est pris au CPL, affirmant que ce parti «ne se souvient des droits des chrétiens que lorsque cela lui est bénéfique ou lorsqu’il a des revendications. Sinon, il ne reconnaît les droits de personne, même pas des Libanais».
Dans ce contexte, M. Geagea s’interroge sur la question de savoir si «les chrétiens ne sont pas exposés aux mêmes dangers que les autres Libanais aujourd’hui». Il a tenu pour responsable de cette situation les parties de la Moumanaa qui «ont formé ce gouvernement initialement pour se partager le pouvoir, de sorte que chaque partie puisse obtenir sa part et l’exercer à sa guise», en prenant pour «prétexte les droits des chrétiens ou d’autres facteurs encore».
Selon lui, «le camp de la Moumanaa continue de bloquer l’élection présidentielle, tandis que le gouvernement intérimaire, composé des membres de ce bloc, demeure inactif, alors qu’il est de son devoir d’agir conformément à la Constitution». Par conséquent, «l’ensemble du peuple libanais a aujourd’hui l’impression que son sort est inconnu».
Se penchant sur la guerre à Gaza, M. Geagea déclare que «la situation pourrait exploser à n’importe quel moment tant que la question palestinienne n’a pas été résolue». Et d’ajouter que la solution à cette question est «unique» et «connue», évoquant «la solution à deux États» proposée par le sommet arabe de 2002, où «le processus de règlement du conflit entre les parties israélienne et palestinienne avait atteint une phase avancée».
Tenant ces propos lors d’un dîner annuel organisé à Meerab par le département de Zahlé au sein des FL, M. Geagea a critiqué le conseil ministériel tenu vendredi, qui a consisté en «de simples discussions et analyses de la situation» et «qui s’est terminé là où il a commencé», sans prise de décision efficace.
Par ailleurs, il s’en est pris au CPL, affirmant que ce parti «ne se souvient des droits des chrétiens que lorsque cela lui est bénéfique ou lorsqu’il a des revendications. Sinon, il ne reconnaît les droits de personne, même pas des Libanais».
Dans ce contexte, M. Geagea s’interroge sur la question de savoir si «les chrétiens ne sont pas exposés aux mêmes dangers que les autres Libanais aujourd’hui». Il a tenu pour responsable de cette situation les parties de la Moumanaa qui «ont formé ce gouvernement initialement pour se partager le pouvoir, de sorte que chaque partie puisse obtenir sa part et l’exercer à sa guise», en prenant pour «prétexte les droits des chrétiens ou d’autres facteurs encore».
Selon lui, «le camp de la Moumanaa continue de bloquer l’élection présidentielle, tandis que le gouvernement intérimaire, composé des membres de ce bloc, demeure inactif, alors qu’il est de son devoir d’agir conformément à la Constitution». Par conséquent, «l’ensemble du peuple libanais a aujourd’hui l’impression que son sort est inconnu».
Se penchant sur la guerre à Gaza, M. Geagea déclare que «la situation pourrait exploser à n’importe quel moment tant que la question palestinienne n’a pas été résolue». Et d’ajouter que la solution à cette question est «unique» et «connue», évoquant «la solution à deux États» proposée par le sommet arabe de 2002, où «le processus de règlement du conflit entre les parties israélienne et palestinienne avait atteint une phase avancée».
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