Cela fait un an, jour pour jour, que l’ancien président de la République libanaise Michel Aoun a quitté le palais présidentiel de Baabda sans qu’un successeur ne soit élu. Malgré la vacance présidentielle, la plupart des Libanais ont célébré ce départ qui mettait enfin un terme au pire sexennat de l’histoire du pays.
Les Libanais commémorent aujourd’hui ce triste anniversaire et attendent, sans grand espoir, que les institutions du pays se redressent. À cet effet, les responsables politiques doivent impérativement se mettre au travail. Jean-Yves le Drian a appelé le mois dernier à trouver une troisième voie. Celle-ci est néanmoins déjà présente et connue de tous. Il suffit d'avoir le courage de l’adopter.
Les Libanais commémorent aujourd’hui ce triste anniversaire et attendent, sans grand espoir, que les institutions du pays se redressent. À cet effet, les responsables politiques doivent impérativement se mettre au travail. Jean-Yves le Drian a appelé le mois dernier à trouver une troisième voie. Celle-ci est néanmoins déjà présente et connue de tous. Il suffit d'avoir le courage de l’adopter.
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