Le syndicat des employés des opérateurs de téléphonie mobile, Alfa et Touch, a demandé, mercredi, au ministre sortant des Télécoms, Johnny Corm, de signer la convention collective qui «garantit une vie décente et une stabilité d’emploi».
Les employés réclament leurs droits sociaux, ainsi qu’un réajustement de leurs salaires. Selon une source proche des employés d’Alfa et de Touch, l’une des revendications concerne la partie du salaire perçue en dollars frais. Celle-ci n’atteint pas 50% de la rétribution, alors que les utilisateurs paient les factures en dollars frais.
Le syndicat se plaint aussi «des restrictions et des pressions matérielles et morales qu’exercent les directions des deux opérateurs sur les employés». «Chacun de nous a son point de vue, mais l’objectif n’a jamais été autre chose que de préserver le secteur et de vivre dignement. Après maints efforts, la convention collective de travail avait été signée, il y a exactement dix ans. Elle est considérée comme le contrat permanent garant des droits et avantages sociaux de tous les salariés, quelle que soit leur fonction», peut-on lire dans un communiqué publié mercredi.
Le syndicat a rappelé que les négociations sur le renouvellement de la convention collective de travail sont toujours en cours. «Nous n’y renoncerons pas, malgré certaines voix destructrices», martèle le syndicat qui confirme «adhérer à tous les principes, normes et formalités de négociation» et «s’engage à adopter une approche positive dans le traitement de ce dossier». Il souligne qu’il est conscient des difficultés et n’a pas cherché à compliquer le processus de négociation. Il a, au contraire, proposé toutes les facilités nécessaires pour renouveler le contrat.
À deux jours de la fin du délai légal de négociation, le syndicat se dit aussi prêt à tout dialogue et coopération, et souligne qu’il compte sur «la sagesse du ministre Corm pour trouver les moyens appropriés afin de renouveler la convention».
Les employés réclament leurs droits sociaux, ainsi qu’un réajustement de leurs salaires. Selon une source proche des employés d’Alfa et de Touch, l’une des revendications concerne la partie du salaire perçue en dollars frais. Celle-ci n’atteint pas 50% de la rétribution, alors que les utilisateurs paient les factures en dollars frais.
Le syndicat se plaint aussi «des restrictions et des pressions matérielles et morales qu’exercent les directions des deux opérateurs sur les employés». «Chacun de nous a son point de vue, mais l’objectif n’a jamais été autre chose que de préserver le secteur et de vivre dignement. Après maints efforts, la convention collective de travail avait été signée, il y a exactement dix ans. Elle est considérée comme le contrat permanent garant des droits et avantages sociaux de tous les salariés, quelle que soit leur fonction», peut-on lire dans un communiqué publié mercredi.
Le syndicat a rappelé que les négociations sur le renouvellement de la convention collective de travail sont toujours en cours. «Nous n’y renoncerons pas, malgré certaines voix destructrices», martèle le syndicat qui confirme «adhérer à tous les principes, normes et formalités de négociation» et «s’engage à adopter une approche positive dans le traitement de ce dossier». Il souligne qu’il est conscient des difficultés et n’a pas cherché à compliquer le processus de négociation. Il a, au contraire, proposé toutes les facilités nécessaires pour renouveler le contrat.
À deux jours de la fin du délai légal de négociation, le syndicat se dit aussi prêt à tout dialogue et coopération, et souligne qu’il compte sur «la sagesse du ministre Corm pour trouver les moyens appropriés afin de renouveler la convention».
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