Décidément, pour Gebran Bassil, le ridicule ne tue pas.
Le chef du Courant patriotique libre cherche, encore et toujours, par tous les moyens, à écarter le commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun, dont la présence à la tête de la Troupe renforcerait ses chances d’être élu à la présidence. Ce petit Néron iznogoudien est même capable de devenir «patriote» et de prôner le passage par «les voies légales» uniquement quand ça lui convient.
Le bureau politique du CPL, a fustigé, mercredi, les propositions de loi des Forces libanaises et d’autres blocs en faveur d’une prorogation du mandat du général Aoun, les accusant de recourir à des solutions «inconstitutionnelles et illégales».
Dans un communiqué, à l'issue de sa réunion hebdomadaire, la formation aouniste a dénoncé «une campagne médiatique et politique d’intimidation programmée qui a émergé ces derniers jours, sous prétexte de peur d’un vide à la tête de l’armée une fois que son commandant atteint l'âge légal».
Il convient de souligner que Gebran Bassil aurait entrepris des contacts avec le Premier ministre sortant, Najib Mikati, et d’autres parties concernées, afin de pourvoir aux postes vacants au sein du conseil militaire, qui est l’organe qui prend les décisions au sein de l’armée. Le chef du courant aouniste aurait même suggéré la nomination par le Conseil des ministres d’un nouveau commandant en chef de l’armée et proposé des noms de candidats.
Selon des sources de l’opposition, la disposition de Gebran Bassil à procéder à de telles nominations, par un gouvernement d’expédition des affaires courantes, et dans un contexte de vacance présidentielle, est en totale contradiction avec toutes les prises de position du chef du CPL et de ses ministres à cet égard. Après avoir boycotté les séances du Conseil des ministres et qualifié chaque réunion et décision du Cabinet d’illégale et d’anticonstitutionnelle, le courant aouniste et son chef ne trouveraient aucun inconvénient à y prendre part, dans le simple but de se débarrasser de Joseph Aoun.
Le patriotisme à la Bassil
Par ailleurs, le chef de la formation aouniste a fait part de son «rejet absolu de toute opération militaire menée par des factions non libanaises (palestiniennes notamment) à l’intérieur des frontières libanaises», les considérant comme «une violation de la souveraineté nationale», soulignant à cet effet que «la résistance à l’agression israélienne se limite au triptyque armée-peuple-résistance». Or, le député machiavélique feint d’oublier que c’est l’Iran qui prend le Liban en otage à travers le Hezbollah qui poursuit son travail de sape en démantelant les institutions et en violant la souveraineté. C’est également lui qui protège et contrôle ses factions étrangères de l’axe obstructionniste iranien présentes sur le territoire libanais.
Le bureau politique du parti a enfin souligné la nécessité «d’élire un président de la République, soit par consensus entre les blocs parlementaires, soit par voie de scrutin selon ce que stipule la Constitution», estimant que «le retard continu dans cette échéance tient les parties prenantes pour responsables». Et si Gebran Bassil arrêtait de marchander et de protéger le Hezbollah, son dernier «allié», pour permettre aux institutions démocratiques de fonctionner?
Le chef du Courant patriotique libre cherche, encore et toujours, par tous les moyens, à écarter le commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun, dont la présence à la tête de la Troupe renforcerait ses chances d’être élu à la présidence. Ce petit Néron iznogoudien est même capable de devenir «patriote» et de prôner le passage par «les voies légales» uniquement quand ça lui convient.
Le bureau politique du CPL, a fustigé, mercredi, les propositions de loi des Forces libanaises et d’autres blocs en faveur d’une prorogation du mandat du général Aoun, les accusant de recourir à des solutions «inconstitutionnelles et illégales».
Dans un communiqué, à l'issue de sa réunion hebdomadaire, la formation aouniste a dénoncé «une campagne médiatique et politique d’intimidation programmée qui a émergé ces derniers jours, sous prétexte de peur d’un vide à la tête de l’armée une fois que son commandant atteint l'âge légal».
Il convient de souligner que Gebran Bassil aurait entrepris des contacts avec le Premier ministre sortant, Najib Mikati, et d’autres parties concernées, afin de pourvoir aux postes vacants au sein du conseil militaire, qui est l’organe qui prend les décisions au sein de l’armée. Le chef du courant aouniste aurait même suggéré la nomination par le Conseil des ministres d’un nouveau commandant en chef de l’armée et proposé des noms de candidats.
Selon des sources de l’opposition, la disposition de Gebran Bassil à procéder à de telles nominations, par un gouvernement d’expédition des affaires courantes, et dans un contexte de vacance présidentielle, est en totale contradiction avec toutes les prises de position du chef du CPL et de ses ministres à cet égard. Après avoir boycotté les séances du Conseil des ministres et qualifié chaque réunion et décision du Cabinet d’illégale et d’anticonstitutionnelle, le courant aouniste et son chef ne trouveraient aucun inconvénient à y prendre part, dans le simple but de se débarrasser de Joseph Aoun.
Le patriotisme à la Bassil
Par ailleurs, le chef de la formation aouniste a fait part de son «rejet absolu de toute opération militaire menée par des factions non libanaises (palestiniennes notamment) à l’intérieur des frontières libanaises», les considérant comme «une violation de la souveraineté nationale», soulignant à cet effet que «la résistance à l’agression israélienne se limite au triptyque armée-peuple-résistance». Or, le député machiavélique feint d’oublier que c’est l’Iran qui prend le Liban en otage à travers le Hezbollah qui poursuit son travail de sape en démantelant les institutions et en violant la souveraineté. C’est également lui qui protège et contrôle ses factions étrangères de l’axe obstructionniste iranien présentes sur le territoire libanais.
Le bureau politique du parti a enfin souligné la nécessité «d’élire un président de la République, soit par consensus entre les blocs parlementaires, soit par voie de scrutin selon ce que stipule la Constitution», estimant que «le retard continu dans cette échéance tient les parties prenantes pour responsables». Et si Gebran Bassil arrêtait de marchander et de protéger le Hezbollah, son dernier «allié», pour permettre aux institutions démocratiques de fonctionner?
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