Les fonctionnaires de l’administration publique sont montés au créneau, vendredi soir, brandissant la menace d’une grève totale, après avoir observé jusque-là une grève partielle, assurant une permanence d’un jour par semaine.
La ligue des fonctionnaires de l’administration publique a appelé le gouvernement à approuver le décret relatif à la fonction publique, lors du Conseil des ministres qui se tiendra mardi.
Dans un communiqué, elle a précisé que l'augmentation proposée dans ce décret est une "indemnité de productivité" et non un réajustement de salaire. En outre, cette augmentation est soumise à des conditions que les fonctionnaires estiment "difficiles", leur imposant "un coût matériel quotidien important".
Par ailleurs, la ligue a souligné que ce décret est censé être "temporaire", dans l’attente que "le gouvernement achève le projet de correction des salaires, des indemnités de transport et de toutes les prestations sanitaires, sociales et éducatives".
Elle a également espéré que le gouvernement "séparera les droits des fonctionnaires de toute querelle politique".
Elle a ainsi exhorté le Cabinet à "tenir sa promesse, afin de préserver les droits des salariés et le bon déroulement du travail dans l'administration publique". "La non-approbation du décret, mardi, pourrait contraindre les fonctionnaires à cesser complètement de travailler, notamment après leur coopération positive au cours de la période précédente", peut-on lire dans le communiqué.
La ligue des fonctionnaires de l’administration publique a appelé le gouvernement à approuver le décret relatif à la fonction publique, lors du Conseil des ministres qui se tiendra mardi.
Dans un communiqué, elle a précisé que l'augmentation proposée dans ce décret est une "indemnité de productivité" et non un réajustement de salaire. En outre, cette augmentation est soumise à des conditions que les fonctionnaires estiment "difficiles", leur imposant "un coût matériel quotidien important".
Par ailleurs, la ligue a souligné que ce décret est censé être "temporaire", dans l’attente que "le gouvernement achève le projet de correction des salaires, des indemnités de transport et de toutes les prestations sanitaires, sociales et éducatives".
Elle a également espéré que le gouvernement "séparera les droits des fonctionnaires de toute querelle politique".
Elle a ainsi exhorté le Cabinet à "tenir sa promesse, afin de préserver les droits des salariés et le bon déroulement du travail dans l'administration publique". "La non-approbation du décret, mardi, pourrait contraindre les fonctionnaires à cesser complètement de travailler, notamment après leur coopération positive au cours de la période précédente", peut-on lire dans le communiqué.
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