Le chef des Forces libanaises, Samir Geagea, a affirmé que «la présidence de la République n’est pas un lot de consolation, ni sur le plan interne, ni en termes d’équations stratégiques». «Tout ce que nous réclamons, c’est que le prochain chef de l’État le soit au sens propre du terme», a-t-il poursuivi.
«Nous n’accepterons pas que soit élu un président qui permettra une prolongation de la situation actuelle», a insisté M. Geagea, soulignant que l’application intégrale de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies, n’est pas liée à la première magistrature. Il a, dans ce contexte, rejeté «tout chantage qui se fait au détriment du peuple libanais».
Le chef des FL a tenu ces propos lors du dîner annuel du bureau d’Aley des Forces libanaises, donné jeudi soir à Meerab. Il en a saisi l’occasion pour expliquer quels sont les devoirs du futur président de la République. D’après lui, c’est celui qui «devra reconstruire l’État et qui se chargera de mettre en œuvre les réformes». C’est aussi, «celui qui n’a pas de relations avec les partis politiques qui étaient au pouvoir durant la période précédente, d’autant qu’ils sont responsables de la situation actuelle».
Concernant la prorogation du mandat du commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun, M. Geagea a souligné que «les Forces libanaises n’étaient pas les seules à lutter dans ce sens, mais qu’elles ont été à l’origine de cette initiative et qu’elles ont joué un rôle central pour la réalisation de cet objectif, dans un souci de maintenir la stabilité au sein de l’institution militaire et des forces de sécurité». À la question de savoir pourquoi les FL n’ont pas exercé la même pression concernant l’échéance présidentielle, M. Geagea a affirmé que le parti déploie tous les efforts nécessaires pour que le scrutin ait lieu au plus tôt, «surtout que notre liberté d’action nous permet d’atteindre les résultats souhaités». Et d’affirmer que les FL n’ont pas de candidat spécifique ni ne briguent des portefeuilles ministériels. Les FL ont toujours affirmé qu’ils soutiennent la candidature de l’ancien ministre des Finances Jihad Azour à la présidence de la République et c’est la première fois qu’ils laissent planer le flou à cet égard. Ce qui permet de supposer qu’ils ouvrent la voie à des pourparlers sur un candidat.
«Nous n’accepterons pas que soit élu un président qui permettra une prolongation de la situation actuelle», a insisté M. Geagea, soulignant que l’application intégrale de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies, n’est pas liée à la première magistrature. Il a, dans ce contexte, rejeté «tout chantage qui se fait au détriment du peuple libanais».
Le chef des FL a tenu ces propos lors du dîner annuel du bureau d’Aley des Forces libanaises, donné jeudi soir à Meerab. Il en a saisi l’occasion pour expliquer quels sont les devoirs du futur président de la République. D’après lui, c’est celui qui «devra reconstruire l’État et qui se chargera de mettre en œuvre les réformes». C’est aussi, «celui qui n’a pas de relations avec les partis politiques qui étaient au pouvoir durant la période précédente, d’autant qu’ils sont responsables de la situation actuelle».
Concernant la prorogation du mandat du commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun, M. Geagea a souligné que «les Forces libanaises n’étaient pas les seules à lutter dans ce sens, mais qu’elles ont été à l’origine de cette initiative et qu’elles ont joué un rôle central pour la réalisation de cet objectif, dans un souci de maintenir la stabilité au sein de l’institution militaire et des forces de sécurité». À la question de savoir pourquoi les FL n’ont pas exercé la même pression concernant l’échéance présidentielle, M. Geagea a affirmé que le parti déploie tous les efforts nécessaires pour que le scrutin ait lieu au plus tôt, «surtout que notre liberté d’action nous permet d’atteindre les résultats souhaités». Et d’affirmer que les FL n’ont pas de candidat spécifique ni ne briguent des portefeuilles ministériels. Les FL ont toujours affirmé qu’ils soutiennent la candidature de l’ancien ministre des Finances Jihad Azour à la présidence de la République et c’est la première fois qu’ils laissent planer le flou à cet égard. Ce qui permet de supposer qu’ils ouvrent la voie à des pourparlers sur un candidat.
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