Les Forces de sécurité intérieure (FSI) ont annoncé jeudi avoir saisi, le 30 novembre 2023, une cargaison de substances destinées à la fabrication de drogues qui s’apprêtait à quitter le port de Beyrouth en direction de l’Australie.
Selon le communiqué, des matières premières utilisées dans la fabrication de la méthamphétamine, ingrédient principal pour la production du Captagon et de comprimés narcotiques, étaient dissimulées à l'intérieur de 3.789 bouteilles d'eau de fleur d’oranger. La cargaison pesait au total 3,5 tonnes, dont 410 kg de la substance précitée.
Par ailleurs, les FSI ont annoncé avoir arrêté, le 2 décembre 2023, au Akkar, trois membres du réseau qui a orchestré cette opération de contrebande, à savoir deux Libanais, G.B. (né en 1972) et R.A. (né en 1982), ainsi qu’un Syrien, M. A. (né en 1998).
Les barils vides ayant été utilisés pour le stockage de la méthamphétamine ont enfin été saisis, le 6 décembre, dans l'entrepôt de la station-service appartenant au premier détenu, situé dans la localité de Jisr Arka.
Lors de l’interrogatoire, les détenus ont reconnu les faits. Ils ont été remis aux autorités compétentes et «les efforts se poursuivent pour arrêter d'autres personnes impliquées», selon le texte.
Selon le communiqué, des matières premières utilisées dans la fabrication de la méthamphétamine, ingrédient principal pour la production du Captagon et de comprimés narcotiques, étaient dissimulées à l'intérieur de 3.789 bouteilles d'eau de fleur d’oranger. La cargaison pesait au total 3,5 tonnes, dont 410 kg de la substance précitée.
Par ailleurs, les FSI ont annoncé avoir arrêté, le 2 décembre 2023, au Akkar, trois membres du réseau qui a orchestré cette opération de contrebande, à savoir deux Libanais, G.B. (né en 1972) et R.A. (né en 1982), ainsi qu’un Syrien, M. A. (né en 1998).
Les barils vides ayant été utilisés pour le stockage de la méthamphétamine ont enfin été saisis, le 6 décembre, dans l'entrepôt de la station-service appartenant au premier détenu, situé dans la localité de Jisr Arka.
Lors de l’interrogatoire, les détenus ont reconnu les faits. Ils ont été remis aux autorités compétentes et «les efforts se poursuivent pour arrêter d'autres personnes impliquées», selon le texte.
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