©La joie des joueurs de la Guinée équatoriale après leur qualification pour les quarts de finale face au Mali, mercredi, à Limbe. Issouf Sanogo/AFP
Rugueuse, combative et portée par son gardien Jesus Owono, la Guinée équatoriale a créé la surprise en éliminant le Mali au tirs au but (0-0 a.p., 6-5 tab), rejoignant le Sénégal en quarts de finale de la Coupe d'Afrique des nations (CAN), mercredi à Limbé.
Derniers qualifiés pour le "top 8" de cette édition camerounaise, les joueurs du "Nzalang Nacional" ("L'Eclair") sont sortis vainqueurs d'une séance de tirs au but irrespirable pour faire basculer une rencontre longtemps indécise et souvent indisciplinée.
Malgré deux échecs équato-guinéens, le jeune portier d'Alaves, Jesus Owono, a sauvé les siens en réalisant deux parades décisives, en plus de la tentative tirée au-dessus par le capitaine malien Hamari Traoré.
Owono et ses partenaires tenteront dimanche (20h00) de décrocher une place en demi-finale pour la deuxième fois de leur histoire après 2015, dès leur troisième participation à la CAN. Le rêve continue pour ceux qui ont déjà battu en poules l'Algérie tenante du titre.
Leur prochain adversaire, le Sénégal, est-il prenable ? Il a en tout cas été mis en difficulté en huitièmes de finale par le Cap-Vert mardi (2-0). Et cet opposant rappellera de bons souvenirs à la Guinée équatoriale: lors de l'édition 2012, cette dernière s'était imposée lors de la phase de groupe contre ce cador du continent (2-1).
Pour le Mali, c'est une désillusion: favoris face à la 114e nation mondiale, les hommes de Mohamed Magassouba ont peiné dans la touffeur de Limbé. Ils regretteront sans doute aussi quelques situations litigieuses qui auraient pu aboutir à des penalties en leur faveur.
Moussa Doumbia a ainsi été bousculé dans la surface par Josete Miranda (40e), mais l'arbitre a annulé sa décision de siffler penalty grâce à l'assistance vidéo. Et après l'heure de jeu, une main de Saul Coco dans sa surface n'a pas été étudiée par la VAR.
Les Equato-Guinéens et leur teigneux leader Iban Salvador Edu ont, de leur côté, opposé une belle agressivité, quitte à écoper de quatre cartons jaunes et de frôler, parfois, l'exclusion. Mais leur hargne a fini par payer, au bout de 16 tirs au but !
La suite de l'aventure de la Guinée équatoriale se disputera au stade Ahmadou Ahidjo de Yaoundé dimanche, et non au stade Japoma de Douala comme initialement prévu: le match a été relocalisé, en raison de l'état de la pelouse de celui-ci.
Derniers qualifiés pour le "top 8" de cette édition camerounaise, les joueurs du "Nzalang Nacional" ("L'Eclair") sont sortis vainqueurs d'une séance de tirs au but irrespirable pour faire basculer une rencontre longtemps indécise et souvent indisciplinée.
Malgré deux échecs équato-guinéens, le jeune portier d'Alaves, Jesus Owono, a sauvé les siens en réalisant deux parades décisives, en plus de la tentative tirée au-dessus par le capitaine malien Hamari Traoré.
Owono et ses partenaires tenteront dimanche (20h00) de décrocher une place en demi-finale pour la deuxième fois de leur histoire après 2015, dès leur troisième participation à la CAN. Le rêve continue pour ceux qui ont déjà battu en poules l'Algérie tenante du titre.
Leur prochain adversaire, le Sénégal, est-il prenable ? Il a en tout cas été mis en difficulté en huitièmes de finale par le Cap-Vert mardi (2-0). Et cet opposant rappellera de bons souvenirs à la Guinée équatoriale: lors de l'édition 2012, cette dernière s'était imposée lors de la phase de groupe contre ce cador du continent (2-1).
Pour le Mali, c'est une désillusion: favoris face à la 114e nation mondiale, les hommes de Mohamed Magassouba ont peiné dans la touffeur de Limbé. Ils regretteront sans doute aussi quelques situations litigieuses qui auraient pu aboutir à des penalties en leur faveur.
Moussa Doumbia a ainsi été bousculé dans la surface par Josete Miranda (40e), mais l'arbitre a annulé sa décision de siffler penalty grâce à l'assistance vidéo. Et après l'heure de jeu, une main de Saul Coco dans sa surface n'a pas été étudiée par la VAR.
Les Equato-Guinéens et leur teigneux leader Iban Salvador Edu ont, de leur côté, opposé une belle agressivité, quitte à écoper de quatre cartons jaunes et de frôler, parfois, l'exclusion. Mais leur hargne a fini par payer, au bout de 16 tirs au but !
La suite de l'aventure de la Guinée équatoriale se disputera au stade Ahmadou Ahidjo de Yaoundé dimanche, et non au stade Japoma de Douala comme initialement prévu: le match a été relocalisé, en raison de l'état de la pelouse de celui-ci.
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