©Le commandant en chef de l'armée Joseph Aoun, au cours de son allocution à Kfarshima.
Le commandant en chef de l’armée rend hommage aux militaires: “N'importe quelle autre armée faisant face à une crise similaire n'aurait pas pu résister.”
“Soit l’institution militaire, soit le chaos: il n'y a pas d’autre option”.
C’est en ces termes que le commandant en chef de l’armée libanaise, le général Joseph Aoun, s’est adressé à la troupe, vendredi, dans le cadre de la crise sans précédent qui frappe le pays et qui n’a pas épargné le corps militaire.
Le général Aoun, a inspecté la brigade logistique de Kfarshima, qui a récemment reçu 60 bus, lesquels seront mis à la disposition du régiment des transports pour mettre en œuvre le plan de transport conjoint pour les militaires.
Le commandant en chef de l’armée a visité les divisions de la brigade, en particulier le centre de maintenance des équipements de surveillance remis aux régiments frontaliers terrestres et à la marine (DTRA), le dispensaire et la nouvelle usine de matériel de nettoyage et de stérilisation.
"La logistique est le cœur battant de toute armée, et aucun soldat ne peut accomplir les tâches qui lui sont confiées sans soutien logistique”, a affirmé le général Aoun à l’adresse des officiers et des soldats.
“Les efforts que vous déployez dans ces circonstances difficiles sont reconnus. Vous avez démontré des capacités exceptionnelles, renouvelant ainsi votre loyauté envers l'institution militaire et la patrie. Ne perdez pas confiance en votre pays, qui a désespérément besoin de vous en ce moment. Vous n'avez pas d'options : soit l'institution militaire, soit le chaos”, a affirmé Joseph Aoun.
Le général Aoun a souligné que “la guerre est d’abord une guerre de volontés", insistant sur la nécessité “d'être patient pour surmonter cette étape”.
Il a estimé que “le peuple libanais s'accroche toujours à l'institution militaire parce qu’il s’agit de sa seule garantie”.
”Nous suivons vos conditions et circonstances de vie. Nous sommes conscients de vos souffrances et de vos besoins, et nous travaillons pour vous fournir de l’aide, autant que possible et par tous les moyens. Il s’agit d’une étape difficile et il faut persévérer pour la surmonter. Il faut garder l'espoir et la foi et avoir une volonté solide, en attendant la fin de cette crise, mais chaque crise a une fin”, a poursuivi le commandant en chef de l’armée.
“J'ai pleine confiance en vous et en votre constance. Vous savez que l'institution militaire est votre première et dernière référence et ne vous quittera jamais. Je n'exagère pas si je dis que n'importe quelle autre armée faisant face à une crise similaire n'aurait pas pu résister, mais notre armée tient toujours grâce à votre volonté”, a souligné Joseph Aoun.
Le général Aoun a ajouté que le commandement de l’armée a élaboré des plans à même d’aider l’armée à tenir bon, dont le développement des soins médicaux, avec des services assurés à environ 10% de la population du Liban, et le renforcement des transports en commun de l'armée par l'achat de 60 bus dans un premier temps, fournis par le USAID, en attendant bientôt la livraison d'autres bus, offert par les pays amis.
Lire aussi : La sollicitude du Hezbollah à l’égard des sunnites
“Soit l’institution militaire, soit le chaos: il n'y a pas d’autre option”.
C’est en ces termes que le commandant en chef de l’armée libanaise, le général Joseph Aoun, s’est adressé à la troupe, vendredi, dans le cadre de la crise sans précédent qui frappe le pays et qui n’a pas épargné le corps militaire.
Le général Aoun, a inspecté la brigade logistique de Kfarshima, qui a récemment reçu 60 bus, lesquels seront mis à la disposition du régiment des transports pour mettre en œuvre le plan de transport conjoint pour les militaires.
Le commandant en chef de l’armée a visité les divisions de la brigade, en particulier le centre de maintenance des équipements de surveillance remis aux régiments frontaliers terrestres et à la marine (DTRA), le dispensaire et la nouvelle usine de matériel de nettoyage et de stérilisation.
"La logistique est le cœur battant de toute armée, et aucun soldat ne peut accomplir les tâches qui lui sont confiées sans soutien logistique”, a affirmé le général Aoun à l’adresse des officiers et des soldats.
“Les efforts que vous déployez dans ces circonstances difficiles sont reconnus. Vous avez démontré des capacités exceptionnelles, renouvelant ainsi votre loyauté envers l'institution militaire et la patrie. Ne perdez pas confiance en votre pays, qui a désespérément besoin de vous en ce moment. Vous n'avez pas d'options : soit l'institution militaire, soit le chaos”, a affirmé Joseph Aoun.
Le général Aoun a souligné que “la guerre est d’abord une guerre de volontés", insistant sur la nécessité “d'être patient pour surmonter cette étape”.
Il a estimé que “le peuple libanais s'accroche toujours à l'institution militaire parce qu’il s’agit de sa seule garantie”.
”Nous suivons vos conditions et circonstances de vie. Nous sommes conscients de vos souffrances et de vos besoins, et nous travaillons pour vous fournir de l’aide, autant que possible et par tous les moyens. Il s’agit d’une étape difficile et il faut persévérer pour la surmonter. Il faut garder l'espoir et la foi et avoir une volonté solide, en attendant la fin de cette crise, mais chaque crise a une fin”, a poursuivi le commandant en chef de l’armée.
“J'ai pleine confiance en vous et en votre constance. Vous savez que l'institution militaire est votre première et dernière référence et ne vous quittera jamais. Je n'exagère pas si je dis que n'importe quelle autre armée faisant face à une crise similaire n'aurait pas pu résister, mais notre armée tient toujours grâce à votre volonté”, a souligné Joseph Aoun.
Le général Aoun a ajouté que le commandement de l’armée a élaboré des plans à même d’aider l’armée à tenir bon, dont le développement des soins médicaux, avec des services assurés à environ 10% de la population du Liban, et le renforcement des transports en commun de l'armée par l'achat de 60 bus dans un premier temps, fournis par le USAID, en attendant bientôt la livraison d'autres bus, offert par les pays amis.
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