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- Frappes aériennes sur Damas contre des positions affiliées à l'Iran
©(Jalaa MAREY, AFP)
De violentes explosions ont été entendues, dans la matinée du 29 janvier, aux environs de la capitale syrienne, Damas, probablement à la suite d’une frappe israélienne, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).
"Trois missiles israéliens ont visé une base du Hezbollah libanais et des Gardiens de la Révolution", l'armée idéologique du régime iranien, "dans le quartier de Sayeda Zeinab, faisant au moins sept morts", a déclaré à l'AFP le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane, sans pouvoir préciser si des civils figuraient parmi les victimes.
Un premier bilan faisait état de six morts.
Deux Syriens, dont le garde du corps d'un officier des Gardiens de la Révolution, figurent parmi les morts, a ajouté l'ONG basée au Royaume-Uni et qui dispose d'un vaste réseau de sources dans la Syrie en guerre.
La zone visée par ces dernières serait celle du mausolée Sayyida Zeinab, au sud de Damas. Au moins six morts, incluant des combattants affiliés à l’Iran, auraient été recensés, selon l’OSDH.
"Vers 13H00 (10H00 GMT), l'ennemi sioniste a mené une agression aérienne depuis le Golan syrien occupé contre des positions au sud de Damas, tuant plusieurs conseillers iraniens et civils et faisant des blessés, en plus de dégâts matériels", a pour sa part indiqué le ministère syrien de la Défense.
L'agence de presse iranienne Tasnim a de son côté rapporté que "le régime sioniste a pris pour cible un centre de conseil iranien" dans le quartier de Sayeda Zeinab.
Cette banlieue est considérée comme l’un des quartiers généraux du Hezbollah et de la force Al-Qods, la branche du Corps des gardiens de la révolution islamique iraniens en charge des opérations extérieures.
Selon l’OSDH, les défenses aériennes autour de Damas ont été activées pour faire face à l’attaque. Des images relayées sur les réseaux sociaux montrent de la fumée s’élevant d'une zone habitée.
Suspected Israeli airstrike reported in Damascus pic.twitter.com/9G60ejl7Jf
— Fazel Hawramy (@FazelHawramy)
Le 20 janvier, la mort de 10 miliciens iraniens avait été confirmée à la suite du ciblage par Israël d’un bâtiment à Damas.
Cinq Iraniens, dont 3 commandants des Gardiens de la révolution iranienne, 3 Syriens membres d’un groupe pro-Iran, et 2, dont l’un était irakien et l’autre de nationalité libanaise, avaient été tués, selon les informations rapportées par l’OSDH.
Généralement effectuées à la faveur de la nuit, les frappes israéliennes diurnes sont particulièrement rares.
"Trois missiles israéliens ont visé une base du Hezbollah libanais et des Gardiens de la Révolution", l'armée idéologique du régime iranien, "dans le quartier de Sayeda Zeinab, faisant au moins sept morts", a déclaré à l'AFP le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane, sans pouvoir préciser si des civils figuraient parmi les victimes.
Un premier bilan faisait état de six morts.
Deux Syriens, dont le garde du corps d'un officier des Gardiens de la Révolution, figurent parmi les morts, a ajouté l'ONG basée au Royaume-Uni et qui dispose d'un vaste réseau de sources dans la Syrie en guerre.
La zone visée par ces dernières serait celle du mausolée Sayyida Zeinab, au sud de Damas. Au moins six morts, incluant des combattants affiliés à l’Iran, auraient été recensés, selon l’OSDH.
"Vers 13H00 (10H00 GMT), l'ennemi sioniste a mené une agression aérienne depuis le Golan syrien occupé contre des positions au sud de Damas, tuant plusieurs conseillers iraniens et civils et faisant des blessés, en plus de dégâts matériels", a pour sa part indiqué le ministère syrien de la Défense.
L'agence de presse iranienne Tasnim a de son côté rapporté que "le régime sioniste a pris pour cible un centre de conseil iranien" dans le quartier de Sayeda Zeinab.
Cette banlieue est considérée comme l’un des quartiers généraux du Hezbollah et de la force Al-Qods, la branche du Corps des gardiens de la révolution islamique iraniens en charge des opérations extérieures.
Selon l’OSDH, les défenses aériennes autour de Damas ont été activées pour faire face à l’attaque. Des images relayées sur les réseaux sociaux montrent de la fumée s’élevant d'une zone habitée.
Suspected Israeli airstrike reported in Damascus pic.twitter.com/9G60ejl7Jf
— Fazel Hawramy (@FazelHawramy)
Suspected Israeli airstrike reported in Damascus pic.twitter.com/9G60ejl7Jf
— Fazel Hawramy (@FazelHawramy) January 29, 2024
Le 20 janvier, la mort de 10 miliciens iraniens avait été confirmée à la suite du ciblage par Israël d’un bâtiment à Damas.
Cinq Iraniens, dont 3 commandants des Gardiens de la révolution iranienne, 3 Syriens membres d’un groupe pro-Iran, et 2, dont l’un était irakien et l’autre de nationalité libanaise, avaient été tués, selon les informations rapportées par l’OSDH.
Généralement effectuées à la faveur de la nuit, les frappes israéliennes diurnes sont particulièrement rares.
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