L’Indice de perception de la corruption (IPC) 2023 du Liban est de 24/100 et le pays se classe 149ème sur 180, enregistrant son score le plus bas depuis trois ans, ce qui confirme la nécessité de remédier de toute urgence à la situation et de prendre des mesures correctives, indique le rapport annuel de Transparency International, leader dans le domaine de la lutte contre la corruption, publié mardi.
L’organisation a annoncé que, tout au long de l’année 2024, elle mènera une étude approfondie sur l’interconnexion critique entre la corruption et l’injustice et appellera activement à des réformes fondamentales pour s’attaquer aux causes sous-jacentes de ce fléau.
Transparency International-Liban attirera l’attention sur les aspects importants qui doivent être abordés cette année dans le but de s’attaquer aux causes profondes de la corruption et de résoudre les problèmes majeurs, notamment la mise en œuvre urgente de la loi sur le droit d’accès à l’information, la transparence concernant les effectifs des fonctionnaires, l’accélération de la mise en œuvre de la stratégie des marchés publics, la remédiation aux pratiques ambiguës dans la gestion des finances publiques, l’autonomisation de la Commission nationale anti-corruption (NACC) et la mise en œuvre de l’indépendance du système judiciaire.
Transparency International-Liban continuera d’inciter l’État libanais à répondre rapidement à ces recommandations, relevant la nécessité de prendre des mesures immédiates et décisives pour lutter contre la corruption et promouvoir une société plus juste et transparente.
Rappelons à cet égard que Transparency International publie chaque année, depuis 1995, son Indice de perception de la corruption (IPC) qui mesure la corruption dans 180 pays. Au fil des ans, l’IPC est devenu l’indicateur mondial de référence pour la corruption dans le monde.
L’organisation a annoncé que, tout au long de l’année 2024, elle mènera une étude approfondie sur l’interconnexion critique entre la corruption et l’injustice et appellera activement à des réformes fondamentales pour s’attaquer aux causes sous-jacentes de ce fléau.
Transparency International-Liban attirera l’attention sur les aspects importants qui doivent être abordés cette année dans le but de s’attaquer aux causes profondes de la corruption et de résoudre les problèmes majeurs, notamment la mise en œuvre urgente de la loi sur le droit d’accès à l’information, la transparence concernant les effectifs des fonctionnaires, l’accélération de la mise en œuvre de la stratégie des marchés publics, la remédiation aux pratiques ambiguës dans la gestion des finances publiques, l’autonomisation de la Commission nationale anti-corruption (NACC) et la mise en œuvre de l’indépendance du système judiciaire.
Transparency International-Liban continuera d’inciter l’État libanais à répondre rapidement à ces recommandations, relevant la nécessité de prendre des mesures immédiates et décisives pour lutter contre la corruption et promouvoir une société plus juste et transparente.
Rappelons à cet égard que Transparency International publie chaque année, depuis 1995, son Indice de perception de la corruption (IPC) qui mesure la corruption dans 180 pays. Au fil des ans, l’IPC est devenu l’indicateur mondial de référence pour la corruption dans le monde.
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