Cheikh Nabil Kaouk, membre du conseil central du Hezbollah, a affirmé, jeudi, que «c’est la résistance qui a le dernier mot sur le terrain, comme cela a toujours été le cas». Se prononçant lors d’une cérémonie en mémoire d’un des combattants du parti, il a affirmé que «les menaces ne sauraient changer la donne», en réponse aux menaces adressées par Israël à la milice pro-iranienne, depuis l’ouverture, le 8 octobre, du front sud en soutien au Hamas dans sa guerre à Gaza.
Il a souligné que «la résistance est plus forte que jamais», ce qui n’est pas le cas de l’armée israélienne qui est «vaincue et affaiblie». «Un élargissement de la guerre au Liban aurait pour seul résultat une défaite israélienne plus assourdissante», a martelé cheikh Kaouk.
Il a, par ailleurs, souligné que «la coopération et la complémentarité entre les différents pôles de la résistance dans la région (Liban, Syrie, Yémen et Irak) ont surpris l’axe israélo-américain». Il a estimé que cette «résistance» est sur le point de «réaliser une nouvelle victoire historique et stratégique qui pose les fondements de nouvelles équations et resserre l’étau encore plus sur Israël».
Pour cheikh Kaouk, les fronts ouverts au Yémen, en Irak, au Liban et en Syrie en soutien au Hamas ont «prouvé l’échec de la politique américaine dans la région du Moyen-Orient». De plus, «les projets de normalisation avec Israël et de protection de l’État hébreu ont été déjoués», a-t-il poursuivi.
Que «les États-Unis n’aient pas réussi à assurer la protection des navires israéliens en mer Rouge et à dissuader la résistance au Liban (de poursuivre ses attaques contre l’armée israélienne) sont une preuve de la régression de l’influence américaine dans la région», selon cheikh Kaouk.
Se penchant enfin sur la décision prise par plusieurs pays de suspendre les fonds accordés à l’Unrwa après qu’Israël a accusé douze employés de l’agence onusienne d’être impliqués dans les attaques du 7 octobre, le cheikh Kaouk note que ces mesures reflètent «une complicité américaine et occidentale dans la famine et le génocide commis à l’encontre du peuple palestinien». Le but est, d’après lui, de «briser la volonté» de ce peuple.
Il a souligné que «la résistance est plus forte que jamais», ce qui n’est pas le cas de l’armée israélienne qui est «vaincue et affaiblie». «Un élargissement de la guerre au Liban aurait pour seul résultat une défaite israélienne plus assourdissante», a martelé cheikh Kaouk.
Il a, par ailleurs, souligné que «la coopération et la complémentarité entre les différents pôles de la résistance dans la région (Liban, Syrie, Yémen et Irak) ont surpris l’axe israélo-américain». Il a estimé que cette «résistance» est sur le point de «réaliser une nouvelle victoire historique et stratégique qui pose les fondements de nouvelles équations et resserre l’étau encore plus sur Israël».
Pour cheikh Kaouk, les fronts ouverts au Yémen, en Irak, au Liban et en Syrie en soutien au Hamas ont «prouvé l’échec de la politique américaine dans la région du Moyen-Orient». De plus, «les projets de normalisation avec Israël et de protection de l’État hébreu ont été déjoués», a-t-il poursuivi.
Que «les États-Unis n’aient pas réussi à assurer la protection des navires israéliens en mer Rouge et à dissuader la résistance au Liban (de poursuivre ses attaques contre l’armée israélienne) sont une preuve de la régression de l’influence américaine dans la région», selon cheikh Kaouk.
Se penchant enfin sur la décision prise par plusieurs pays de suspendre les fonds accordés à l’Unrwa après qu’Israël a accusé douze employés de l’agence onusienne d’être impliqués dans les attaques du 7 octobre, le cheikh Kaouk note que ces mesures reflètent «une complicité américaine et occidentale dans la famine et le génocide commis à l’encontre du peuple palestinien». Le but est, d’après lui, de «briser la volonté» de ce peuple.
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