Le ministre sortant des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib, affirme, jeudi, que «le Liban veut une paix totale et non des solutions tronquées», à la frontière sud avec Israël.
«Le projet israélien prévoit le retrait du Hezbollah au nord» du Litani, «ce que nous refusons, parce que nous voulons une solution totale qui consiste à délimiter les frontières entre les deux pays, sur base de la délimitation de 1923, confirmée par l’accord d’armistice de 1949», poursuit-il dans un échange à bâtons rompus avec des journalistes.
«Nous voulons récupérer les fermes de Chebaa et les collines de Kfarchouba et nous voulons qu’Israël mette un terme à ses violations aériennes, maritimes et terrestres», insiste encore M. Bou Habib.
Il souligne que le Liban est prêt à «mener des négociations indirectes, mais il est impossible de signer un accord avant l’élection d’un président de la République». Il rappelle qu’il a exposé la position du Liban sur ce plan dans son allocution au cours de la réunion ministérielle du Conseil de sécurité de l’ONU, le 24 janvier.
«Le projet israélien prévoit le retrait du Hezbollah au nord» du Litani, «ce que nous refusons, parce que nous voulons une solution totale qui consiste à délimiter les frontières entre les deux pays, sur base de la délimitation de 1923, confirmée par l’accord d’armistice de 1949», poursuit-il dans un échange à bâtons rompus avec des journalistes.
«Nous voulons récupérer les fermes de Chebaa et les collines de Kfarchouba et nous voulons qu’Israël mette un terme à ses violations aériennes, maritimes et terrestres», insiste encore M. Bou Habib.
Il souligne que le Liban est prêt à «mener des négociations indirectes, mais il est impossible de signer un accord avant l’élection d’un président de la République». Il rappelle qu’il a exposé la position du Liban sur ce plan dans son allocution au cours de la réunion ministérielle du Conseil de sécurité de l’ONU, le 24 janvier.
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