Le gouverneur par intérim de la Banque du Liban (BDL), Wassim Mansouri, a communiqué, samedi, aux banques les amendements apportés à la circulaire 151, à travers une nouvelle circulaire n°166.
À la suite de la réunion du conseil central de la BDL, tenue vendredi, M. Mansouri a communiqué deux décisions portant sur le remboursement des dépôts en devises étrangères et la conversion en livres libanaises des actifs et des créances libellés en devises étrangères.
En plus de l’amendement de la circulaire 151, la Banque centrale a approuvé l'autorisation de permettre aux déposants non bénéficiaires de la circulaire 158 de retirer 150 dollars en billets verts.
Le coût maximal de cette nouvelle circulaire serait de 300 millions de dollars par an, que devront se partager les banques et la BDL, à raison de 150 millions de dollars.
Par ailleurs, le taux de change presque unifié, actuellement fixé à 89.500 livres libanaises pour un dollar, influencera les budgets des banques. La plupart d'entre elles auront besoin d’injecter de nouveaux fonds. Cela est également lié à des projets de lois sur le contrôle des capitaux, la restructuration des banques et la normalisation financière. Toutefois, le gouvernement et le Parlement reportent, depuis 2019, l’adoption de ces lois, révélant un échec flagrant des deux autorités à faire face à la crise.
À la suite de la réunion du conseil central de la BDL, tenue vendredi, M. Mansouri a communiqué deux décisions portant sur le remboursement des dépôts en devises étrangères et la conversion en livres libanaises des actifs et des créances libellés en devises étrangères.
En plus de l’amendement de la circulaire 151, la Banque centrale a approuvé l'autorisation de permettre aux déposants non bénéficiaires de la circulaire 158 de retirer 150 dollars en billets verts.
Le coût maximal de cette nouvelle circulaire serait de 300 millions de dollars par an, que devront se partager les banques et la BDL, à raison de 150 millions de dollars.
Par ailleurs, le taux de change presque unifié, actuellement fixé à 89.500 livres libanaises pour un dollar, influencera les budgets des banques. La plupart d'entre elles auront besoin d’injecter de nouveaux fonds. Cela est également lié à des projets de lois sur le contrôle des capitaux, la restructuration des banques et la normalisation financière. Toutefois, le gouvernement et le Parlement reportent, depuis 2019, l’adoption de ces lois, révélant un échec flagrant des deux autorités à faire face à la crise.
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