Après des grèves, des sit-in et un quasi-scandale, une solution à la question des salaires et des pensions de retraite du secteur public semble pointer à l’horizon.
Après avoir reporté le Conseil des ministres de vendredi qui devait aborder ce dossier, le Premier ministre sortant, Najib Mikati, a mené, ces dernières heures, une série de consultations avant d'en convoquer un autre. Celui-ci aura lieu en milieu de semaine prochaine et portera sur l'examen des prestations sociales du secteur public et des retraités, ainsi que d'un projet de loi sur la restructuration et la réorganisation des banques.
À ce propos, il semble que le gouvernement pourrait accorder des motivations financières à tous les fonctionnaires civils et militaires, pas seulement à ceux du ministère des Finances, étant donné les risques liés aux grèves qui paralysent de nombreux départements et institutions administratives. Selon le quotidien arabophone, Al-Diyar, des discussions intensives sont en cours pour essayer de trouver une solution aux revendications des retraités.
Selon des sources ministérielles citées par Al-Diyar, des pourparlers sérieux sont engagés pour donner aux retraités un pourcentage plus élevé que celui qui a déjà été proposé. Et celui des fonctionnaires actifs sera encore plus élevé. Par exemple, si un fonctionnaire est augmenté de telle sorte que son salaire équivaille à 40% de celui qu'il percevait avant la crise, la pension de retraite, elle, équivaudrait à 30% de celle d'avant la crise.
Il convient de rappeler à cet égard que les fonctionnaires observent une grève générale depuis le 29 janvier et que les employés de divers ministères – de l’Information, de l’Agriculture, des Télécoms, du Tourisme, du Travail et de l’Économie – ont annoncé à tour de rôle, mercredi et jeudi dernier, un arrêt de travail total, pour dénoncer les inégalités dans l’octroi d’augmentations salariales et d’allocations dans le secteur public. Ils protestent notamment contre leur exclusion des allocations que le gouvernement a décidé d’accorder à certaines catégories de fonctionnaires.
De même, les militaires à la retraite n’ont de cesse d’observer des sit-in pour protester contre la dévaluation de leur pension.
Après avoir reporté le Conseil des ministres de vendredi qui devait aborder ce dossier, le Premier ministre sortant, Najib Mikati, a mené, ces dernières heures, une série de consultations avant d'en convoquer un autre. Celui-ci aura lieu en milieu de semaine prochaine et portera sur l'examen des prestations sociales du secteur public et des retraités, ainsi que d'un projet de loi sur la restructuration et la réorganisation des banques.
À ce propos, il semble que le gouvernement pourrait accorder des motivations financières à tous les fonctionnaires civils et militaires, pas seulement à ceux du ministère des Finances, étant donné les risques liés aux grèves qui paralysent de nombreux départements et institutions administratives. Selon le quotidien arabophone, Al-Diyar, des discussions intensives sont en cours pour essayer de trouver une solution aux revendications des retraités.
Selon des sources ministérielles citées par Al-Diyar, des pourparlers sérieux sont engagés pour donner aux retraités un pourcentage plus élevé que celui qui a déjà été proposé. Et celui des fonctionnaires actifs sera encore plus élevé. Par exemple, si un fonctionnaire est augmenté de telle sorte que son salaire équivaille à 40% de celui qu'il percevait avant la crise, la pension de retraite, elle, équivaudrait à 30% de celle d'avant la crise.
Il convient de rappeler à cet égard que les fonctionnaires observent une grève générale depuis le 29 janvier et que les employés de divers ministères – de l’Information, de l’Agriculture, des Télécoms, du Tourisme, du Travail et de l’Économie – ont annoncé à tour de rôle, mercredi et jeudi dernier, un arrêt de travail total, pour dénoncer les inégalités dans l’octroi d’augmentations salariales et d’allocations dans le secteur public. Ils protestent notamment contre leur exclusion des allocations que le gouvernement a décidé d’accorder à certaines catégories de fonctionnaires.
De même, les militaires à la retraite n’ont de cesse d’observer des sit-in pour protester contre la dévaluation de leur pension.
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