Le Premier ministre sortant, Najib Mikati, a reçu, jeudi, au Grand Sérail, une délégation de la Confédération générale des travailleurs du Liban (CGTL), présidée par Béchara Asmar.
À l’issue de l’entretien, M. Asmar a révélé que cette visite a pour but de remercier le Premier ministre pour les augmentations de salaires dans le secteur public, décidées mercredi, en Conseil des ministres. «Nous avons confirmé le soutien de la CGTL à cette ‘approche thérapeutique’ à ce stade particulier et qui adhère à un certain plafond des dépenses jusqu’à 2.800 milliards de livres par mois parce que ce qui nous préoccupe c’est le maintien de l’équilibre financier», a-t-il dit.
Il a ajouté que les rétributions du secteur public doivent être rééchelonnées de manière à inclure les augmentations dans le salaire de base, parce que celles-ci ne se reflètent pas dans les indemnités de fin de service des fonctionnaires et des militaires, puisqu’ils perçoivent toujours leurs indemnités au taux de 1.500 livres libanaises pour un dollar. «C’est la revendication fondamentale de la CGTL aujourd’hui», a martelé le syndicaliste.
M. Asmar a appelé à un réajustement de salaires dans le secteur privé, affirmant avoir sollicité l’intervention du Premier ministre à ce sujet. «La Commission de l’indice des prix était censée se réunir pour décider d’une augmentation du salaire minimum dans le secteur privé. Or, en raison de désaccords survenus sur les chiffres, la réunion a été reportée», a-t-il dit.
À l’issue de l’entretien, M. Asmar a révélé que cette visite a pour but de remercier le Premier ministre pour les augmentations de salaires dans le secteur public, décidées mercredi, en Conseil des ministres. «Nous avons confirmé le soutien de la CGTL à cette ‘approche thérapeutique’ à ce stade particulier et qui adhère à un certain plafond des dépenses jusqu’à 2.800 milliards de livres par mois parce que ce qui nous préoccupe c’est le maintien de l’équilibre financier», a-t-il dit.
Il a ajouté que les rétributions du secteur public doivent être rééchelonnées de manière à inclure les augmentations dans le salaire de base, parce que celles-ci ne se reflètent pas dans les indemnités de fin de service des fonctionnaires et des militaires, puisqu’ils perçoivent toujours leurs indemnités au taux de 1.500 livres libanaises pour un dollar. «C’est la revendication fondamentale de la CGTL aujourd’hui», a martelé le syndicaliste.
M. Asmar a appelé à un réajustement de salaires dans le secteur privé, affirmant avoir sollicité l’intervention du Premier ministre à ce sujet. «La Commission de l’indice des prix était censée se réunir pour décider d’une augmentation du salaire minimum dans le secteur privé. Or, en raison de désaccords survenus sur les chiffres, la réunion a été reportée», a-t-il dit.
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