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- Une réunion peu commune entre le Hamas et les Houthis
©Un jeune Yéménite brandit un "janbiya", un daggger traditionnel incurvé, lors d'une marche à Sanaa, la capitale dirigée par les Huthis, le 15 mars 2024, en soutien aux Palestiniens, dans le cadre des combats entre Israël et le groupe militant du Hamas dans la bande de Gaza. (AFP)
Des dirigeants du Hamas et des Houthis se sont rencontrés récemment afin de discuter de la "coordination" de leurs actions contre Israël, ont indiqué vendredi soir à l'AFP des sources au sein des factions palestiniennes.
Selon ces sources au sein des mouvements islamistes palestiniens du Hamas et du Jihad islamique, des dirigeants de ces deux organisations, ainsi que du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP, marxiste), ont tenu "la semaine dernière" une "réunion importante" avec des cadres des Houthis.
Au cours de cette réunion, dont le lieu et les participants n'ont pas été révélés, les dirigeants de ces factions ont discuté des "mécanismes de coordination de leurs actions de résistance en qui concerne la prochaine étape" de la guerre en cours entre Israël et le Hamas, selon ces sources.
Les factions palestiniennes et les Houthis ont également discuté de la possibilité d'une opération israélienne à Rafah, dernier grand bastion du Hamas dans le sud de la bande de Gaza. Selon l'ONU, environ 1,5 million de personnes, principalement des déplacés par les combats, sont concentrées dans cette région, ajoutent ces sources.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a d'ailleurs approuvé "les plans d'action" de l'armée en vue d'une offensive à Rafah.
Lors de cette rencontre avec les factions palestiniennes, les Houthis ont "confirmé qu'ils poursuivraient leurs opérations en mer Rouge" afin de "soutenir la résistance palestinienne", ont ajouté ces sources au sein du Hamas et du Jihad islamique, qui ont requis l'anonymat.
Le Hamas, le Jihad islamique et les Houthis font notamment partie de "l'axe de la résistance", un regroupement de mouvements hostiles à Israël et aux États-Unis, soutenu par l'Iran, et qui comprend aussi le Hezbollah libanais et des milices irakiennes.
Dans un discours prononcé jeudi soir, le chef des Houthis, Abdel Malek al-Houthi, a affirmé que son mouvement allait "poursuivre et étendre la portée de (ses) opérations".
"Notre principale bataille consiste à empêcher les navires liés à l'ennemi israélien de traverser la mer d'Oman, la mer Rouge et le golfe d'Aden, mais nous nous efforcerons aussi (...) de les empêcher de traverser l'océan Indien et d'aller de l'Afrique du Sud vers le cap de Bonne-Espérance", a-t-il déclaré.
Avec AFP
Selon ces sources au sein des mouvements islamistes palestiniens du Hamas et du Jihad islamique, des dirigeants de ces deux organisations, ainsi que du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP, marxiste), ont tenu "la semaine dernière" une "réunion importante" avec des cadres des Houthis.
Au cours de cette réunion, dont le lieu et les participants n'ont pas été révélés, les dirigeants de ces factions ont discuté des "mécanismes de coordination de leurs actions de résistance en qui concerne la prochaine étape" de la guerre en cours entre Israël et le Hamas, selon ces sources.
Les factions palestiniennes et les Houthis ont également discuté de la possibilité d'une opération israélienne à Rafah, dernier grand bastion du Hamas dans le sud de la bande de Gaza. Selon l'ONU, environ 1,5 million de personnes, principalement des déplacés par les combats, sont concentrées dans cette région, ajoutent ces sources.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a d'ailleurs approuvé "les plans d'action" de l'armée en vue d'une offensive à Rafah.
Lors de cette rencontre avec les factions palestiniennes, les Houthis ont "confirmé qu'ils poursuivraient leurs opérations en mer Rouge" afin de "soutenir la résistance palestinienne", ont ajouté ces sources au sein du Hamas et du Jihad islamique, qui ont requis l'anonymat.
Le Hamas, le Jihad islamique et les Houthis font notamment partie de "l'axe de la résistance", un regroupement de mouvements hostiles à Israël et aux États-Unis, soutenu par l'Iran, et qui comprend aussi le Hezbollah libanais et des milices irakiennes.
Dans un discours prononcé jeudi soir, le chef des Houthis, Abdel Malek al-Houthi, a affirmé que son mouvement allait "poursuivre et étendre la portée de (ses) opérations".
"Notre principale bataille consiste à empêcher les navires liés à l'ennemi israélien de traverser la mer d'Oman, la mer Rouge et le golfe d'Aden, mais nous nous efforcerons aussi (...) de les empêcher de traverser l'océan Indien et d'aller de l'Afrique du Sud vers le cap de Bonne-Espérance", a-t-il déclaré.
Avec AFP
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