Les Forces libanaises ont estimé, lundi, que la convergence avec le Courant patriotique libre (CPL) nécessite «des ententes nationales à commencer par une vision souverainiste».
«Nous estimons que toute rencontre avec le CPL dans un esprit unificateur n’est pas opportune, tant que le chef du parti, Gebran Bassil, n’aura pas réclamé la remise des armes du Hezbollah à l’État», ont avancé les FL dans un communiqué, en réponse à l’appel lancé par M. Bassil au patriarche maronite, le cardinal Béchara Raï, afin d’unifier les rangs chrétiens. «Une telle rencontre devrait refléter la volonté des Libanais d’édifier un réel État, ce qui est entravé par les armes et le rôle du Hezbollah», ont-ils ajouté.
Soulignant que «l’opinion publique libanaise n’est plus disposée à accepter des démarches qui ne feraient qu’augmenter sa colère, puisqu’elle ne tolère plus des dialogues stériles», les FL ont mis en garde contre «la crise de confiance» qu’il ne faudrait pas minimiser.
«Il ne faut pas sous-estimer la crise de confiance née de la violation des ententes et des accords conclus», ont-ils ainsi ajouté, faisant allusion à l’accord de Meerab, conclu en 2016 entre le CPL et les FL. Cet accord, rappelle-t-on, avait permis à Michel Aoun d’être élu à la tête de l’État. Or les termes de cet accord, notamment en ce qui concerne les fondamentaux sur le plan national, n’avaient pas été respectés par le CPL.
«Le rétablissement de la confiance nécessite du temps et un processus, ainsi que des mesures concrètes et non pas des slogans stériles», ont conclu les FL.
«Nous estimons que toute rencontre avec le CPL dans un esprit unificateur n’est pas opportune, tant que le chef du parti, Gebran Bassil, n’aura pas réclamé la remise des armes du Hezbollah à l’État», ont avancé les FL dans un communiqué, en réponse à l’appel lancé par M. Bassil au patriarche maronite, le cardinal Béchara Raï, afin d’unifier les rangs chrétiens. «Une telle rencontre devrait refléter la volonté des Libanais d’édifier un réel État, ce qui est entravé par les armes et le rôle du Hezbollah», ont-ils ajouté.
Soulignant que «l’opinion publique libanaise n’est plus disposée à accepter des démarches qui ne feraient qu’augmenter sa colère, puisqu’elle ne tolère plus des dialogues stériles», les FL ont mis en garde contre «la crise de confiance» qu’il ne faudrait pas minimiser.
«Il ne faut pas sous-estimer la crise de confiance née de la violation des ententes et des accords conclus», ont-ils ainsi ajouté, faisant allusion à l’accord de Meerab, conclu en 2016 entre le CPL et les FL. Cet accord, rappelle-t-on, avait permis à Michel Aoun d’être élu à la tête de l’État. Or les termes de cet accord, notamment en ce qui concerne les fondamentaux sur le plan national, n’avaient pas été respectés par le CPL.
«Le rétablissement de la confiance nécessite du temps et un processus, ainsi que des mesures concrètes et non pas des slogans stériles», ont conclu les FL.
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